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  • : espace-relaxation-wakanda
  • : Pour le bien-être, la santé, la vitalité et l'écologie... De la relaxation à la méditation, du corps à l'esprit... Entrer en harmonie avec soi et son environnement, s'établir dans la paix et la joie intérieures, cultiver et manger bio...
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TRADUCTION/TRANSLATION

ESPACE RELAXATION WAKANDA

  Dans les Alpes de Haute Provence, entre Manosque et Sisteron

Cours relaxation

libérer les tensions musculaires et psychiques, stimuler l'énergie vitale

Préparation aux examens

gérer le stress, renforcer attention, concentration, mémorisation, confiance en soi...

Aide aux enseignants

techniques spécifiques pour l'enseignant confronté à la complexité de son métier et aux tensions omniprésentes dans les établissements scolaires.

Aide aux enfants et adolescents en difficultés scolaires développer attention et concentration par l'accès à un état psychomoteur apaisé et réceptif.

 

  • Stage 1

Tout pour le bien-être, la santé, la vitalité

Apprentissage et intégration de techniques de relaxation (allongé, assis, debout, en mouvement)

Echanges pour clarification, décodage et appropriation effective

Techniques étirement, assouplissement,

Auto-massages 

Regard sur alimentation et sommeil,

interactions avec l'environnement

  • Stage 2 

De la relaxation à la méditation,

du corps à l'esprit...

Trouver en Soi un espace de plénitude, de paix, de joie indépendamment du vécu

Passer de la réparation des blessures, traumatismes, mémoires de tristesse, de peur à

la guérison en ré-alignant toutes les composantes de soi-même dans l'être intérieur.

 

 
 

 

La Relaxation

 

Conditions préalables

  • Une pièce calme, dans la demi obscurité, une température moyenne 

  • Des vêtements lâches, ni trop chauds ni trop légers 

  • Soit en position assise (fauteuil confortable, nuque bien calée et bras reposant sur les accoudoirs)

  • Soit en position allongée, la tête un peu soutenue et une légère couverture sur le corps.

Le patient a les paupières fermées, il est immobile et se concentre sur ses sensations.

Contre-indications

  • Sujet réfractaire au relâchement par une volonté toujours tendue 

  • Sujet trop inconscient et ne pouvant participer à l’écoute de ses sensations et pensées 

  • Pathologies sévères (schizophrénie, troubles cardiaques graves, psychose paranoïaque)

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24 août 2011 3 24 /08 /août /2011 15:00

 

Stress.jpg

SOURCE :http://www.unisson06.org/dossiers/relation_aide/stress.htm

 

Le stress
par Michael

 

 «  Un changement brutal survenant dans les habitudes d'une personne,

 jusque-là bien équilibrée, est susceptible de déclencher un bouleversement

dans sa structure psychique et somatique. »

Hans Selye.

 

Hans Selye est un des premiers chercheurs à s'être intéressé au stress, dès

 le début du 20 ème siècle. Dans son ouvrage « stress of life », il décrit le

stress comme une réponse défensive d'alarme émanant d'un organisme

 menacé. De cette constatation il en élabore sa théorie du stress, mot

 qu'il introduit lui-même en médecine.

Aujourd'hui le stress est un mot que l'on entend souvent, un terme récurant

 pour expliquer bon nombre de nos désordres psychiques et physiologiques.

 Notre société moderne est imprégnée de stress, une vie effrénée, un

emploi du temps surchargé, des objectifs de résultats, la pollution,

le bruit, l'incertitude socio-économique, la perte de repères, etc.

Le stress est devenu depuis l'ère de la consommation de masse des

années 60 un des facteurs clés du mal être généralisé de nos villes. Il a pris

 une dimension particulière, une place majeure dans nos esprits à tel point

 que chacun en connaît intuitivement les effets sans connaître forcément

 ses origines et surtout les méthodes thérapeutiques visant à le diminuer.

Nous allons tenter dans un premier temps de définir et de comprendre

 les processus d'apparition du stress sur le plan physiologie et psychologique.

Dans un deuxième temps, partant de la compréhension du stress dans

 toute sa structure, nous verrons les différentes méthodes mises en œuvre

dans le but de lutter efficacement contre le stress.

 

I/ Une définition du stress :

•  Etymologie :

Le mot stress vient du latin, stringere et stressus, qui signifient serré. En vieux

 français stress signifie étroitesse et oppression. Ces recherches

étymologiques nous indiquent bien notre ressenti lorsque le stress nous

 étreint. La gorge et l'estomac se resserrent, la trachée artère se rétrécit

et un sentiment d'oppression se fait ressentir sur notre être. Les anciens

avaient donc vu juste, mais aujourd'hui grâce aux avancées des sciences nous

 pouvons établir une définition plus précise du stress sur les différents plans

 de son action, c'est-à-dire le physique et le psychologique, puis le lien

 psychosomatique qui les unit.

•  Physiologie :

Il est souhaitable de comprendre tout d'abord le processus physiologique

 du stress chez l'animal afin de l'adapter à l'humain. Lorsqu'un animal

 rencontre un danger quelconque son cortex reptilien (cerveau primitif,

 instinctif) lui annonce deux solutions possibles :

- La première, la fuite devant le danger : en s'éloignant ainsi de la source du

stress, on élimine les signaux externes qui l'ont causé.

- La deuxième, l'attaque, dans le but de supprimer la source du stress et

ainsi par là même d'éliminer les signaux externes qui l'ont fait apparaître.

Physiologiquement le stress provoque une accélération du rythme cardiaque,

une amplification de la respiration, une élévation de la tension artérielle,

 la sécrétion d'hormones corticosurrénales qui à terme peuvent

engendrer des ulcères gastriques et des affections dermatologiques.

Aujourd'hui notre héritage génétique nous a légué ce même cerveau reptilien

 sur lequel s'est ajouté par le biais de l'évolution deux autres cerveaux.

Le cortex limbique, siège de nos émotions, et le néo-cortex, siège de l'intellect.
Mais malgré notre évolution, face à des événements qui mettent en danger

 notre intégrité physique, nous agissons pour la plupart très instinctivement.

 Là où un seul cerveau (reptilien) nous aurait offert deux options assez

 simples en vue de la disparition du stress, nous compliquons les choses.

Nous les compliquons et au fond cela fait partie de notre évolution, de ce qui

 nous diffère de l'animal. Mais le problème est qu'il s'effectue souvent un

 emballement entre notre cerveau reptilien qui nous dit de fuir ou de nous

battre, le cerveau limbique qui indique d'avoir des émotions fortes et notre

 néo-cortex qui nous demande de comprendre le phénomène.

Ce même néo-cortex a créé une société civilisée où il est impossible

d'extérioriser son stress, de l'effacer ou de fuir les causes. On ne peut

agresser son patron par peur de perdre son emploi ou fuir subitement pour les

 mêmes raisons et bien d'autres encore. Ainsi, l'humain moderne semble

prisonnier de son stress, il ne peut le faire sortir, et ainsi, ce stress physique

 tente de se faire connaître de notre psyché par différents moyens.



c) Psychologie :

On l'a vu le stress agit fortement sur notre corps, il l'oblige à réagir par

différents stimuli physiologiques. Mais, quand les réponses ne peuvent

atteindre leurs finalités, c'est la psyché qui emmagasine l'information et

 tente tant bien que mal de résoudre les conflits générés. Une action

 pourrait rétablir l'équilibre psycho-physiologique et entraîner une sensation

 de bien-être et de satisfaction. Mais il arrive que cette action ne puisse

 avoir lieu pour des raisons sociales ou morales ainsi il convient de comprendre

 les structures psychiques du stress afin d'établir les méthodes de gestion et

 de résolution du stress.

Le stress psychologique concerne l'état de tension, de préoccupation ou

d'activation excessive subies. Parfois extrême, parfois tonique, il s'agit d'une

 notion qui est considérée comme un facteur de vulnérabilité dans le

développement de pathologies diverses, physiques et mentales.

Psychologiquement le stress peut prendre plusieurs aspects :

- Des obsessions diverses pouvant découler sur des troubles anxieux sévères

 liés à l'objet du stress, des imageries mentales récurrentes, cauchemars,

 peurs incontrôlées.

- Cyclothymie, instabilité émotionnelle, réactions disproportionnées,

 évitements et vérifications.

- Perte de mémoire, fatigue nerveuse, perte de tonus, démotivation.

La frustration, vient s'y ajouter, ce sentiment d'insatisfaction provoqué par

 le constat du stress où l'on se sent vulnérable et en souffrance et dans

l'incapacité de s'en sortir.

Si le stress psychologique se prolonge sur un long terme, il apparaît des

 maladies organiques. Ces maladies sont interprétées comme le moyen du

corps d'indiquer un mal aise psychique. Mais étant donné que

physiologiquement le corps n'a pas pu extérioriser le stress, que ce

stress a été refoulé violemment,, il développe une maladie (une maladie est

 un mal à dire) dans le but d'attirer l'attention sur un problème d'ordre

psychique, le stress est somatisé.

•  Psychosomatique :

D'après Sami-Ali le stress doit être considéré comme un équivalent de

 « la situation d'impasse. » Car ni la fuite, ni l'attaque ne sont possibles et

ainsi le problème ne trouvant pas de solution s'engage vers la dépression ou

la somatisation. Le stress chronique peut engendrer une déficience du

système immunitaire, et à terme, une cellule anormale peut se développer en

cancer.

Le stress possède des influences sur les fonctions digestives et à terme

 provoque des lésions et des ulcères gastriques. Le stress déclenche

 de nombreuses hormones corticoïdes responsables des inflammations

 gastriques comme le montre le schéma suivant.

 

Réponse immunitaire au stress

 

Le stress est un effet, il découle d'une cause qui possède, en fonction

des cas, plusieurs origines. On peut dire que les causes du stress se sont

 complexifiées avec l'évolution du cerveau humain. Au début, très primitif,

 le stress était dû à une menace physique de l'intégrité du corps.

Aujourd'hui, bien que le stress continue d'être lié à notre instinct de

conservation, il s'est infiltré dans les subtilités de notre psyché.

 

 Et au-delà de l'instinct, ce sont les émotions et les interactions avec

 nos semblables qui causent le stress.

Plus profondément encore un stress peut être la résultante d'un refoulement

 inconscient et pas seulement une cause bien identifiée. Souvent on pense

 que le stress provient de facteurs communs comme la charge de travail,

la pression sociale ou autre. Mais vient aussi se surajouter des facteurs

 inconscients bien étudiés entre autres par la psychosomatique.

Si l'inconscient ne peut informer le conscient du trouble qui pèse sur lui,

si le barrage du conscient ne peut laisser l'abréaction se produire, alors

le trouble se déplace dans le corps, c'est la maladie psychosomatique.

Le schéma suivant montre clairement que le stress forme un barrage entre

 le conscient et l'inconscient. Il ne permet pas au patient d'aller puiser dans

 ses ressources inconscientes l'origine du mal être.

 

 

II/ Méthodes et thérapeutiques :

•  Stress positif et négatif :

Il est bon de différencier le stress négatif (Distress) et le stress positif

 (Eustress), le premier s'installe bien souvent de manière chronique et

cause à terme des maladies psychosomatiques.

Le second quant à lui consiste en une excitation, un stimuli suffisant pour

 déclencher une adaptation rapide. Ce stress est caractérisé par une

excitation qui mobilise tous nos sens.

 On retrouve par exemple dans cette catégorie, le trac de l'artiste ou du sportif, ou de

 l'amoureux avant un premier rendez-vous. Ce stress joue un rôle dans la

 concentration et la mobilisation des ressources, ce sont des stimulants.

•  La gestion du stress :

Maintenant que nous connaissons un peu mieux le stress, tout du moins

 d'un point de vue théorique, il nous est désormais possible d'établir

 des modalités thérapeutiques.

Dans un premier temps nous allons voir une méthode simple de gestion du

stress que chacun peut utiliser sans la présence d'un thérapeute. Cela

 se présente plus comme une philosophie du stress qu'une thérapie analytique

 ou autre.

Le stress est causé la plupart du temps par une impasse relationnelle,

 un mauvais rapport entre deux ou plusieurs personnes en entreprise ou

en famille.

Face à cela il convient d'avoir une attitude honnête avec soi-même, avouer

ses torts et ses droits et surtout communiquer par l'auto expression des

sentiments.

Ne pas avoir peur de dire oui ou non, savoir mettre fin à une relation trop

 stressante, écourter une communication ennuyeuse ou faire un point sur

les comportements stressants de l'autre.

Prendre le temps pour soi, choisir ses priorités, ne plus se laisser manipuler

 sans réagir ou encore ruminer les problèmes.

Relâcher les tensions nerveuses en faisant du sport, se créer un équilibre

 alimentaire, une hygiène de vie. Diminuer les excitants, tabac, café,

alcool et autres. La relaxation, la méditation peuvent être de précieuses

aides pour apprendre à se connaître soi-même : par la maîtrise du souffle,

 on acquiert la maîtrise de soi.

Voici donc quelques conseils pour impulser une meilleure gestion du

stress, mais dans certains cas ils ne suffisent pas et là l'intervention d'un

 thérapeute ("ou accompagnement d'un bon praticien") s'avère indispensable.

Nous allons voir succinctement certaines approches thérapeutiques qui

 permettent de diminuer, voire guérir le stress chronique.

 

•  La psychothérapie cognitivo-comportementale :

C'est Hans Selye qui le premier donna une définition claire du stress,

 les thérapies comportementales se sont fortement inspirées de ses travaux.

 Le cognitivisme est avant tout une science de la pensée. On analyse donc

ce qui, dans les pensées, modes de pensées,  croyances, dysfonctionne

et génère le mal-être. 

 

Ce schéma évoque la structure de l'analyse fonctionnelle du dysfonctionnement

 

 

L'analyse fonctionnelle permet de mettre en évidence les émotions

(sentiment d'incapacité), les cognitions personnelles qui impliquent des

 paroles telles que : « dans ma vie tout est stressant, je suis à bout,

c'est infernal, etc… ». Mais aussi certaines imageries mentales qui

déclenchent le stress. Ainsi on tente de voir si le patient cumule

ou non les facteurs stressants, comme les problèmes de santé, les conflits

affectifs.

 

 

Dans l'ensemble, les thérapies cognitivo-comportementales tentent de

 réadapter l'individu à une situation extérieure à laquelle il ne s'adapte pas

 car il est stressé. Ainsi, la thérapie va consister en la reprogrammation

 des schèmes comportementaux du patient face aux situations stressantes

 et ainsi tenter d'impulser son adaptation et sa compréhension du stress.

•  La relaxation psychosomatique :

D'une manière générale les techniques de relaxation ont pour but

d'obtenir un contrôle physiologique, réduisant les effets du stress.

Même si les méthodes sont nombreuses, un objectif commun les rassemble  :

 « la maîtrise de l'équilibre nerveux et hormonal par un ralentissement

physiologique général conditionnée par la diminution du tonus sympathique. »

 Les méthodes de relaxation peuvent se ranger en deux catégories principales.

•  Les méthodes centrées sur la relaxation du corps et qui sont appelées

« méthodes de relaxation muscles vers esprit ».

•  Les méthodes de relaxation appelées « méthodes de relaxation esprit vers

 muscles ».


d.1) Méthodes de relaxation « muscles vers esprit » :

Elles s'appuient sur la relation réciproque existant entre le corps et l'esprit,

la relaxation du corps influence la relaxation psychique. La relaxation a son

 origine dans un état physique de relaxation, qui se généralise ensuite pour

produire un état mental de calme. Le but est d'obtenir un relâchement

 psychique par la maîtrise du tonus musculaire et ses facultés de

détente/contraction. La tension musculaire étant un indicateur d'un état

 d'anxiété et de stress.

Parmi les principales méthodes « muscles vers esprit » on trouvera :

•  La relaxation progressive de Jacobson :

Cette méthode enseigne au patient la maîtrise progressive de chaque

groupe musculaire, l'expérimentation des états de contraction et de détente

des muscles. Par la maîtrise des différents états du muscle le patient

 peut ainsi mieux maîtriser les facteurs stressants de sa psyché.

Quand les muscles sont relaxés, ils transmettent moins de stimulations

au système nerveux central. L'état de sérénité mentale est atteint

par la réduction des stimulations musculaires dirigées vers le cerveau.

d.2) Méthodes de relaxation « esprit vers muscles » :

•  Les méthodes méditatives et respiratoires :

Ces méthodes empruntées en partie aux techniques ancestrales de l'orient,

 constituent des moyens pour atteindre les états physiques et mentaux

 désirés. Elles agissent directement sur la relaxation de l'esprit et produisent

 indirectement une relaxation physique.

Inspiré du Zen et du Taï Chi Chuan, la Sophrologie tente de « laïciser » le

contenu et d'apporter les outils thérapeutiques fondamentaux

 nécessaires à l'acquisition de la relaxation psychique et corporelle.

La relaxation et la concentration sur les sensations corporelles permettent

de faire émerger des sensations de calme et de sérénité qui vont servir

 à améliorer la perception du corps. Par l'acquisition d'une posture et d'une

 respiration ample et profonde le patient régule ainsi progressivement

 les impulsions neuromusculaires responsables des tensions psychiques

liées au stress.

•  Le training autogène de Schulz :

Cette méthode comporte deux cycles, l'inférieur et le supérieur, le cycle

supérieur est une psychothérapie, le cycle inférieur, permet l'apprentissage

de la relaxation. Il est composé d'un certain nombre d'exercices, de stades,

 qui permettent de parvenir à la détente et d'obtenir une « déconnexion

générale de tout l'organisme » . Le training autogène est un contrôle

intentionnel du système nerveux autonome. Le training autogène

 implique un contrôle conscient sur des systèmes qui autrement agissent

 sur une base automatique ou involontaire. Dans le cas du stress cet

apprentissage permet une régulation de l'influx nerveux généré par une

situation stressante. La pratique régulière permet ensuite de pratiquer

des techniques de suggestion positive améliorant la maîtrise de

soi en conditions stressantes.

Conclusion :

Nous avons vu à quel point le stress est un mal qui a pénétré notre société

 moderne par de nombreux accès. Il a envahi notre sphère

 professionnelle, familiale, personnelle, parasite violemment les rapports

humains et plus encore il précarise l'état de santé de la population.

Depuis de nombreuses années les thérapeutes élaborent des méthodes

 toutes plus efficaces les unes que les autres dans le but de diminuer les

effets du stress sur l'humain. Grâce à la compréhension des mécanismes

 du stress et de son impact psychosociologique il nous est possible d'espérer

 voir diminuer à terme certaines maladies psychosomatiques.

Dans un monde où l'humain se retrouve coupé du tout qui le constitue, des

 cycles naturels du vivant, la connaissance de soi, par le biais des

 psychothérapies, entraînera peu à peu une prise de conscience globale.

Cette prise de conscience des conditions psychiques dramatiques de

 l'humain moderne permettra peut-être de voir un jour s'établir des

structures sociales qui permettront à l'humain de développer davantage

un potentiel encore inexploité.


Bibliographie :

- « Dictionnaire de psychothérapie cognitive et comportementale  »
Daniel Nollet et Jacques Thomas, Ed. Ellipses – 2001

- « La relaxation psychosomatique  » Sylvie Cady, Ed. Dunod– 2003


Autres sites : Doctissimo
http://www.doctissimo.fr/html/psychologie/stress_angoisse/niv2/

stress-relaxation.htm

Apprendre à apprendre : http://apprendreaapprendre.com/reussite_scolaire/

stress-relaxation--8-30.html

 

 

   
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