ESPACE RELAXATION WAKANDA
Si, malgré ma vigilance, une image de ce blog n'était pas libre de droit, je m'engage à la retirer dès que j'en recevrai la demande, avec mes excuses et mes remerciements pour en avoir disposé jusque là.
Dans les Alpes de Haute Provence, entre Manosque et Sisteron
Cours relaxation
libérer les tensions musculaires et psychiques, stimuler l'énergie vitale
Préparation aux examens
gérer le stress, renforcer attention, concentration, mémorisation, confiance en soi...
Aide aux enseignants
techniques spécifiques pour l'enseignant confronté à la complexité de son métier et aux tensions omniprésentes dans les établissements scolaires.
Aide aux enfants et adolescents en difficultés scolaires développer attention et concentration par l'accès à un état psychomoteur apaisé et réceptif.
Stage 1
Tout pour le bien-être, la santé, la vitalité
Apprentissage et intégration de techniques de relaxation (allongé, assis, debout, en mouvement)
Echanges pour clarification, décodage et appropriation effective
Techniques étirement, assouplissement,
Auto-massages
Regard sur alimentation et sommeil,
interactions avec l'environnement
Stage 2
De la relaxation à la méditation,
du corps à l'esprit...
Trouver en Soi un espace de plénitude, de paix, de joie indépendamment du vécu
Passer de la réparation des blessures, traumatismes, mémoires de tristesse, de peur à
la guérison en ré-alignant toutes les composantes de soi-même dans l'être intérieur.
Conditions préalables
Une pièce calme, dans la demi obscurité, une température moyenne
Des vêtements lâches, ni trop chauds ni trop légers
Soit en position assise (fauteuil confortable, nuque bien calée et bras reposant sur les accoudoirs)
Soit en position allongée, la tête un peu soutenue et une légère couverture sur le corps.
Le patient a les paupières fermées, il est immobile et se concentre sur ses sensations.
Contre-indications
Sujet réfractaire au relâchement par une volonté toujours tendue
Sujet trop inconscient et ne pouvant participer à l’écoute de ses sensations et pensées
Pathologies sévères (schizophrénie, troubles cardiaques graves, psychose paranoïaque)
A découvrir : le site : http://www.malononduality.blogspot.fr/
N'attendez pas qu'on vous raconte des histoires, surtout pas l'histoire de celui que vous venez rencontrer.
Lorsqu'une histoire rencontre une autre histoire, ça finit toujours par faire des histoires. Car toute histoire à pour but de faire exister celui qui la raconte. Le moi, en même temps qu'il crée une représentation qu'il croit réelle, en devient au moment même un effet induit.
Lorsqu'une histoire rencontre ce qui est, c'est la fin de l'histoire. Aucune histoire n'y résiste, y compris l'origine de toutes les histoires, c'est-à-dire le moi. Même la fin de l'histoire fait partie de l'histoire. Mais tant qu'il y a une préférence pour se raconter des histoires à propos de ce qui est plutôt que le goût de se laisser rencontrer par l'intimité de la présence de ce qui est, alors il y aura toujours des histoires et même parfois de très belles histoires.
Les histoires, c'est bon pour endormir les enfants le soir. Quand vous aurez appris qu'untel a suivi par exemple un enseignement auprès de tel ou tel maître, ça vous fera une belle jambe.
Penser est une fonction qui fait appel à la mémoire pour mettre en forme des informations, à propos de l'enseignement par exemple. Mais voir est possible quand tout est oublié, toutes nos croyances, y compris la dernière d'entre elles, celle de croire que nous n'avons plus de croyance. Ce n'est pas une affaire personnelle. Voir n'appartient à personne. Il n'y a personne pour voir. C'est pourquoi voir ne peut jamais être récupéré ou utilisé en fonction d'un but. Voir ce qui est, et ce qui est devient voir. Ce n'est pas une cause qui produit un effet, c'est simultané. Il n'y a plus de point de fixation, plus de représentation de moi ou du monde à laquelle se référer, plus rien à partir de quoi l'organisation mentale pourrait produire un semblant d'adhérence, un effet de trompe l'œil qu'on appelle le moi. Avant d'être apparemment un chercheur qui croit chercher la réalité, nous sommes. L'ego est soluble dans ce qui est.
Mais cela ne constitue pas un programme. Seule la pensée lui confère un statut à part de ce qui est. En réalité il n'en est rien. Donc aucune technique n'est proposée pour anéantir l'ego. Cette technique constituerait à son tour un moyen détourné par le mental pour assurer la survie imaginaire de cette crispation totalitaire qu'on appelle l'ego. L'ego est parfaitement légitime s'il reste à sa place en tant que fonction de coordination de la personnalité, et ne devient un problème que s'il est considéré comme une identité.
RENCONTRE AVEC MALO
ÊTRE N’EST PAS UNE IDENTITÉ
Vous êtes vous jamais posé la question : à partir de quoi j’éprouve un sentiment de manque, une impression que quelque chose pourrait être ajoutée à ce qui est déjà là ? Le manque ne peut pas éprouver le manque. Comment le manque pourrait ressentir le manque, il est lui-même manque.
Seule la plénitude peut éprouver ce qui apparaît comme un manque. Nous passons notre vie à nous limiter alors que notre nature profonde, elle, est illimitée.
Dimanche 13 janvier 2013
De 10h30 à 12h et de 14h30 à 16h
Au Petit Mas, 2 chemin du Puy, 06270 Villeneuve-Loubet
www.lepetitmas.fr
30 euros pour la journée
On peut apporter un plat salé ou sucré à partager pour le déjeuner et le goûter à 16h
Inscription auprès de Patricia Flory
06 88 50 72 93 ou 04 93 07 91 13 - coordinatrice@lepetitmas.fr
www.malononduality.blogspot.fr
Ajoutée par GanymedeTV le 28 juin 2011
Jean-Philippe BREBION, Lucie NOLET, Gilles SINQUIN, Frank HATEM, Salomon SELLAM, Louise GERVAIS, Eugenie ROSEC tirent quelques conclusions de ces rencontres inoubliables, et parlent de 2012, de l'Homme Nouveau, des Enfants 5e Dimension, et de la contraction du temps. La totalité des enregistrements (7 DVDs) est disponible sur http://www.humani-terre.net
Licence YouTube standard
Page originale : http://www.laconscience-espace.com/
Site de Nicole Montineri
Notre Nature Véritable
Derrière les apparences de l'univers se trouve l'unique réalité : la conscience.
Elle n'est pas le centre : en dehors d'elle, il n'y a rien.
Elle est le contenant du cosmos.
Elle est aussi l'impulsion, le mouvement qui organise la vie, qui crée la variété infinie des formes et qui les résorbe.
Elle est la danse du vide.
Tout existe par sa puissance illimitée. Elle est la matrice qui féconde tout. Chaque phénomène émerge d'elle et retourne à elle. Elle est la source unique. Nous sommes nés d'elle. Nous sommes son expression.
De la conscience émane l'amour inconditionnel, sans objet, sans direction, qui pénètre toute chose. Il est l'énergie cosmique qui nous traverse, nous anime et nous porte. Nous le manifestons dès que la perception de l'unité de la vie éclot en nous.
La pensée est issue de la même source d'énergie. Mais dans son approche fragmentaire de la réalité, elle occulte cette origine.
Il n'y a rien de particulier à faire pour être ce que nous sommes de toute éternité. Tout effort est une projection de l'esprit qui se tend en vue d'acquérir quelque chose. La Réalité ne peut être objet de quête ou de méditation. Rien n'est hors d'elle.
Prenons simplement la position d'accueil de toute activité du corps et du mental.
Les manifestations innombrables ne sont pas moi, ni à moi, mais un jeu de la vie.
Demeurons silencieux, détachés de tous les phénomènes.
Notre nature véritable est paix. Elle n'est pas liée aux actions du corps et du mental.
L'ignorance est de s'identifier à ceci ou à cela.
C'est lorsque nous vivons dans notre totalité - l'espace lumineux de la pure conscience - que l'énergie de vie, expression du flot infini, peut s'épanouir librement en nous et à travers nous. Elle n'a pas d'autre but qu'elle-même. Nos actes jaillissent alors spontanément de ce vide hors du temps.
Dés que nous demeurons « en conscience » dans cet espace, nous sentons que nous nous stabilisons, car c'est notre propre substance que nous réalisons.
Notre vraie nature n'est pas un état. Elle est le déploiement continu de la vie dans notre espace de paix et de silence.
C'est l'intelligence à l'œuvre au sein de l'énergie de vie qui prend soin de nous. Ce n'est pas à nous de le faire. Elle nous porte où elle veut.
Notre existence terrestre est l'histoire de la vie qui cherche à s'accomplir en chaque être, patiemment, amoureusement. Nous sommes issus de sa vibration originelle. Nous sommes l'univers au point de sa source vibratoire, d'où jaillit l'énergie.
Là est la racine de la conscience.
La vie réside dans la conscience. Elle ne peut se déployer que dans l'espace vide, potentiel illimité, qui est notre vraie nature. C'est cela le mystère à découvrir. Il n'y en a pas d'autre.
Nous sommes conscience, c'est là notre véritable identité, de toute éternité. Nous sommes son mouvement infini, hors du temps.
Voyons-nous comme étant ce flux sans commencement ni fin, harmonisons notre rythme à sa pulsation éternelle.
Il n'y a qu'un seul appel, celui de l'espace éternel en nous. Il est notre substance véritable, le lieu vide de la pulsation unique de la vie. Cette réalité n'est pas ailleurs que là où nous vivons. Son éternité se dévoile à nous à chaque instant.
Etendons-nous vers l'extérieur, participons activement au monde, le connaissant comme jeu, tout en rentrant sans cesse en nous-mêmes. Retrait et expansion sont les deux mouvements de la vie.
Ayons le courage de nous alléger de toutes les pressions de la société et partons à la découverte, solitaire, de la réalité. C'est notre dignité d'humain de nous relier en conscience à l'essence de notre être.
Simplifions-nous, dépouillons-nous, et dans ce vide, nous découvrirons l'intelligence de la vie à l'œuvre.
La fin des vacances est déjà là pour certains... les photos demeurent pour nous rappeler nos belles balades !
Peut-être pouvez-vous copier/coller dans les commentaires le plus beau paysage photographié cet été ? !
Bonne rentrée !
Le paon, semble t-il, ne vole qu’en de rares occasions ...
Ainsi le voit-on la plupart du temps !
Le voici à présent, dans sa magnificence, en plein vol !
J’ai reçu ces photos et je les édite pour leur grande beauté, mais, sont-elles authentiques ou auraient-elles été “retouchées” ?
Qu’en pensez-vous ?
Avez-vous eu l’occasion de voir un paon en plein vol ? Moi, jamais !
publié le 17 juin 2012 à 08:56
Google a dévoilé samedi 16 juin à Rio de Janeiro une carte culturelle des Indiens Surui, un instrument digital qui aidera la tribu amazonienne à partager sa vaste connaissance de la forêt et à combattre la déforestation. La carte, résultat d'un partenariat de cinq ans entre le cacique surui Almir et le géant américain de l'Internet, a été montré pour la première fois lors d'un forum d'entreprises, en marge de la conférence sur le développement durable Rio+20.
Sur l'image animée de la planète de Google Earth, on voit un petit point dans le vaste Brésil : c'est la tribu surui, qui comprend 1 300 personnes vivant sur un territoire de 240 000 hectares dans l'Etat amazonien de Rondonia, au nord-ouest du pays. L'application présente des photos et vidéos en 3D de la forêt où vivent les indigènes, accompagnées de récits de leurs traditions et coutumes. Ces images sont visibles sur Google Earth ainsi que sur le site Paiter.org.
"NOUS CONNAISSONS LA FORÊT, GOOGLE LA TECHNOLOGIE"
Portant une coiffure de plumes multicolores, le chef Almir a salué ce projet qui "montre au monde à travers Google la valeur de notre culture". Almir, qui avait proposé l'idée de la carte à Google lors d'un voyage aux Etats-Unis il y a cinq ans, a dit lors d'une conférence de presse être particulièrement fier de l'apport des Surui au projet, en particulier la narration. "Ceci est réellement un projet innovant pour Google", a dit Rebecca Moore, responsable du projet.
Le cacique surui a annoncé que les indiens utiliseront la carte ainsi que des smartphones pour surveiller le déboisement clandestin autour de son territoire. Almir a assuré que son objectif était de faire prendre conscience de la nécessité d'un usage durable des forêts. "Nous connaissons la forêt, Google connait la technologie et nous avons noué un partenariat pour le bien des forêts", a-t-il ajouté.
Page originale : http://www.lepoint.fr/art-de-vivre/le-potager-geant-c-est-l-avenir-17-06-2012-1474291_4.php
Par Sophie Bartczak
Une poignée de haricots verts devant le commissariat, deux salades ramassées dans des plates-bandes du collège, quelques pommes de terre le long du parking, les oeufs proposés par le voisin et une tarte avec les pommes cueillies sur le trottoir d'en face. Le repas est prêt ! Surréaliste ? Pas tout à fait. Une ancienne ville industrielle du nord de l'Angleterre a transformé en trois ans cette folle utopie en réalité, au point d'être presque autosuffisante en alimentation aujourd'hui !
L'expérience de ces "incredible edibles" ou "incroyables comestibles", soutenue par le prince Charles himself, essaime rapidement dans tout le Yorkshire et fait déjà des émules aux quatre coins du monde... Les experts du monde entier, du Chili comme de l'Australie, se bousculent chaque semaine dans la petite ville pour essayer de comprendre et d'en prendre de la graine. Comprendre comment de simples végétaux ont pu induire un tel changement de société en si peu de temps.
L'histoire commence en 2008, à Todmorden, petite ville de 14 000 habitants dans le nord de l'Angleterre. Ancienne ville industrielle, en pleine crise économique avec son lot de chômage, de précarité et d'incivilités, Todmorden se vide inexorablement de ses habitants. Trois mères de famille décident de ne plus se poser en victimes du système, mais plutôt d'agir et de contre-attaquer. En commençant par regagner la première des libertés : celle de se nourrir.
Ainsi sont nés les "incroyables comestibles", ces fruits et légumes cultivés localement par l'ensemble des habitants - ici, chaque citoyen entretient bénévolement un carré de terre pour la collectivité. Cultiver en ville, mais où donc ? Partout où c'est possible ! Des parcelles de jardins aux simples bandes de terre, en passant par des bacs posés sur les trottoirs, les parkings, les cours des écoles et de l'hôpital, jusqu'à la caserne des pompiers, les moindres recoins disponibles se recouvrent soudain de plantations et débordent de généreux produits frais et disponibles. Avec partout la même pancarte : "Food to share" ("nourriture à partager, servez-vous, c'est gratuit").
Un an après, la ville s'est véritablement transformée en verger et potager géant à la disposition de tous. Aujourd'hui, plus de 70 sites de plantation urbains fournissent pommes, fraises, petits pois, cerises, aromates, fenouil, carottes et oignons... Les habitants se servent et participent à leur tour en mettant la main à la bêche, en plantant, en arrosant et en créant de nouvelles cultures. Le pari pour l'autonomie complète est presque gagné puisque, fin 2011, la ville couvrait déjà plus de 80 % de ses besoins en alimentation. Car on trouve aussi des animaux, comme des poules, élevés par les habitants et dans certaines écoles. En intégrant les enfants au cœur du dispositif - chaque école a sa plantation -, les organisateurs ont souhaité les transformer en apprentis jardiniers et les font ainsi participer à l'approvisionnement des cantines.
Si les experts se bousculent dans cette petite ville, c'est qu'au-delà d'assurer la sécurité alimentaire, le mouvement génère des conséquences vertueuses insoupçonnées. Alors qu'avec la gratuité des fruits et des légumes, on aurait pu craindre des pillages, saccages ou autres abus, c'est tout le contraire qui s'est produit : le tissu social s'est reformé, les relations humaines se sont améliorées et la criminalité diminue d'année en année !
En se réappropriant la nourriture, les gens retrouvent du sens et du lien, se reconnectent à la nature et découvrent un nouvel art de vivre. De la méfiance et du cloisonnement on est passé à l'ouverture et au partage. L'autonomie alimentaire entraîne aussi des changements dans l'économie locale (moins de chômage notamment), l'apprentissage des enfants et la gestion de l'énergie (moins de dépenses pour amener les denrées dans la ville). Éducation, économie et collectivité sont considérées comme les trois piliers interdépendants du programme. C'est en activant ces trois paramètres que l'autonomie est retrouvée. Autrefois désertée, Todmorden accueille aujourd'hui des familles qui reviennent s'installer. À quand la France ? Quelques initiatives commencent à fleurir en Alsace, en Auvergne ou encore dans les Vosges...
À suivre...
Belle balade sur le plateau de Valensole, fin avril 2012 !
Voici quelques photos afin que vous découvriez la beauté saisissante de ces paysages qui nous immerge dans la tranquille simplicité de la nature, de la Vie.
Vous trouverez toutes les photos en diaporama sur l'album "Haute Provence" !