Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Bienvenue ! Merci De Votre Visite !

  • : espace-relaxation-wakanda
  • : Pour le bien-être, la santé, la vitalité et l'écologie... De la relaxation à la méditation, du corps à l'esprit... Entrer en harmonie avec soi et son environnement, s'établir dans la paix et la joie intérieures, cultiver et manger bio...
  • Contact

Blog écolo et source d'eau pour un enfant

bonial – promos et catalogues – moins de co2 Je participe et fais planter un arbre pour mon blog !

 

Je participe : eau saine pour un enfant pendant un an.

NM Médical, distribution de matériel médical

Recherche

Images

Si, malgré ma vigilance, une image de ce blog n'était pas libre de droit, je m'engage à la retirer dès que j'en recevrai la demande, avec mes excuses et mes remerciements pour en avoir disposé jusque là.

Archives

TRADUCTION/TRANSLATION

ESPACE RELAXATION WAKANDA

  Dans les Alpes de Haute Provence, entre Manosque et Sisteron

Cours relaxation

libérer les tensions musculaires et psychiques, stimuler l'énergie vitale

Préparation aux examens

gérer le stress, renforcer attention, concentration, mémorisation, confiance en soi...

Aide aux enseignants

techniques spécifiques pour l'enseignant confronté à la complexité de son métier et aux tensions omniprésentes dans les établissements scolaires.

Aide aux enfants et adolescents en difficultés scolaires développer attention et concentration par l'accès à un état psychomoteur apaisé et réceptif.

 

  • Stage 1

Tout pour le bien-être, la santé, la vitalité

Apprentissage et intégration de techniques de relaxation (allongé, assis, debout, en mouvement)

Echanges pour clarification, décodage et appropriation effective

Techniques étirement, assouplissement,

Auto-massages 

Regard sur alimentation et sommeil,

interactions avec l'environnement

  • Stage 2 

De la relaxation à la méditation,

du corps à l'esprit...

Trouver en Soi un espace de plénitude, de paix, de joie indépendamment du vécu

Passer de la réparation des blessures, traumatismes, mémoires de tristesse, de peur à

la guérison en ré-alignant toutes les composantes de soi-même dans l'être intérieur.

 

 
 

 

La Relaxation

 

Conditions préalables

  • Une pièce calme, dans la demi obscurité, une température moyenne 

  • Des vêtements lâches, ni trop chauds ni trop légers 

  • Soit en position assise (fauteuil confortable, nuque bien calée et bras reposant sur les accoudoirs)

  • Soit en position allongée, la tête un peu soutenue et une légère couverture sur le corps.

Le patient a les paupières fermées, il est immobile et se concentre sur ses sensations.

Contre-indications

  • Sujet réfractaire au relâchement par une volonté toujours tendue 

  • Sujet trop inconscient et ne pouvant participer à l’écoute de ses sensations et pensées 

  • Pathologies sévères (schizophrénie, troubles cardiaques graves, psychose paranoïaque)

Pages vues...

  050 000

 

 

NM Médical, distribution de matériel médical

Visiteurs...

18 octobre 2011 2 18 /10 /octobre /2011 17:15

110_F_4945175_dlELKcx77t7wEyi6jMc8DhKORnDB6Rta

 

Entretien de joaquim avec Oniris (suite)

 

 

Concernant la « première fois ».
Etiez-vous en quête spirituelle, ou initiatique, et plus généralement, quels sont selon vous, les événements qui vous ont conduit à vivre cette « expérience » ?

 

J'avais été nourri dans mon enfance de textes bibliques jusqu'à l'indigestion, j'avais dû plier mon esprit d’enfant à réfléchir à des questions piégées qui m’étaient pourtant présentées comme capitales, à tel point qu'il en avait été si endolori qu’il ne m’était plus d’aucune utilité pour tenter de comprendre ce qui m’arriva lorsque, au sortir de l’enfance, je me découvris empêtré dans un buisson de ronces. Tout ce que j’étais m’entravait, et j’aspirait à être tout, plutôt que moi.

Vers 16 ans, je suis tombé sur un livre, un pavé qui me semblait totalement hors de ma portée, "Les prodigieuses victoires de la psychologie moderne", de Pierre Daco, dans la collection Marabout, et je l'ai, à ma totale stupéfaction, dévoré en deux jours (j’étais jusqu’alors un authentique indigent de la lecture). Il m'ouvrit les yeux sur un monde nouveau, magnifique et cruel, sans pitié pour la plaie vive qu’était ma vie intérieure. J'ai pu à partir de ce moment-là déverser toute mon énergie dans une quête, et cela fut un soulagement énorme; mais ce fut une quête difficile et douloureuse, dans laquelle je me sentais bien seul et impuissant. J'avais lu aussi le deuxième livre de cet auteur, "Les triomphes de la psychanalyse", et si j'avais croisé alors quelque part en ville la plaque d'un psychanalyste, j'aurais osé malgré mes craintes aller frapper à sa porte. Mais il n'y en avait point. Je me suis alors tourné vers les livres: j’ai eu ma période Rampa, puis Schuré, puis Fabre-d’Olivet, et enfin Rudolf Steiner. Je venais d’avoir 18 ans lorsque je tombai sur sa “Philosophie de la Liberté”. Elle fit sur moi une forte impression. En particulier cette thèse: on est libre non pas lorsqu’on accomplit une action dans un but déterminé, mais lorsqu’on le fait par pur amour pour l’action. Sur les conseils qu’il donnait dans d’autres ouvrages que je lus dans la foulée, je commençai également à méditer, une demie heure par jour, avec toute la passion dont j’étais capable.

 

A la même époque, je cessai de me battre, je renonçai à faire de moi autre chose que ce que j’étais. Peut-être parce qu’un cadeau m’était tombé du ciel. Je découvris en effet avec surprise que les événements, que j’avais souvent bien du mal à goûter sur le moment, m’inondaient dans l’après-coup d’une joie que je ne les imaginais pas contenir. Le premier souvenir de cette sorte est encore très vif dans ma mémoire. C’était au printemps 1976, j’étais en voiture avec des amis, et la radio de bord diffusait une chanson de Serge Lama, “les Ports de l’Atlantique”. Je me suis retrouvé, sans y être nullement préparé, aspiré par cette chanson, transporté quelques mois plus tôt, en une soirée banale de décembre, une de ces soirée que rien ne signalait à ma mémoire, mais qui m’ouvrit tout-à-coup la porte sur un Paradis que j’aurais connu alors, dont je n’avais pourtant rien su sur le moment, et que je découvrais pour la première fois, lové dans cette chanson qui régénérait ma mémoire. Cette expérience fut une indicible consolation dans la lutte douloureuse que je menais avec moi-même depuis deux ans. A partit de cette date, je me suis réjoui de tout ce que je pouvais vivre, même l’insignifiant, confiant qu’il me serait restitué après-coup dans des habits de lumière.


A la même époque — cela m’était venu spontanément, sans que je le provoque —, j’évitais de penser mes pensées jusqu’au bout, je sentais bien que j’étais incapable de les conduire jusqu’à leur plein épanouissement; alors, pour éviter de les abîmer avant leur terme, sitôt qu’elles pointaient le bout de leur nez, je les reconduisais délicatement dans le grand océan intérieur d’où elles cherchaient à émerger. Et je crois bien que c’est cette attitude-là qui m’a préparé à recevoir la grâce de l’éveil. Car chaque chose qu’on laisse être sans vouloir s’en emparer, croît à la mesure de ce geste de confiance qu'on lui fait. Quelque chose a mûri ainsi dans mon silence intérieur. Et je me suis retrouvé, à l’orée de mes 19 ans, prêt pour être envahi par celui à qui j’avais fait confiance, cet être qui construisait mes pensées en amont de ma conscience, cet être qui me construisait moi; la foi que j’avais mise en lui, en renonçant à m’approprier quoi que ce soit qui lui appartenait — j’en avais été vacciné après avoir passé les années précédentes à me battre avec une énergie considérable contre moi-même, pour tenter vainement de me prendre en mains, de faire de moi celui que j’aurais voulu être —; j’avais finalement fait acte d’allégeance totale envers lui, j’avais renoncé à juger ce qu’il faisait, même si c’était ce moi misérable que j’étais, lorsque tout-à-coup, en un instant, mon univers bascula, et je me suis retrouvé, moi, pauvre petite lueur vacillante, être le créateur, moi qui n’osais espérer un regard de tous ceux que je sentais si supérieurs à moi, tutoyer Dieu, faire partie de Lui, vivre en Lui par ce que j’avais de plus intime. C’était à la fois renversant et évident.

 

Dans les jours et les semaines qui ont suivis cette « première fois », savez-vous si l’entourage de l’époque a observé un changement, une variation voire même une mutation s’opérant en vous ?

 

Non. Aucun changement. Il n’y avait d’ailleurs aucun changement à observer. Le seul changement, c’est que je voyais la Réalité. La réalité toute simple, mais je mets un grand R, car chaque chose, même la plus insignifiante, quand on la saisit dans l’unité qu’on entretient avec elle dans l’être, quand elle nous offre par sa simple présence un moi jusqu’alors inconnu, avec lequel elle entretient de toute éternité une intimité insoupçonnée, apparaît comme sacrée. Mais rien ne change à l’extérieur. J’étais infiniment plus heureux, mais personne ne m’en a fait la remarque. Je découvrais le printemps pour la première fois, son odeur, ses couleurs, cette sève qui se répandait dans l’air et dans la terre, qui coulait même dans mes veines, tout était nouveau, et en même temps — et cela aussi c’était nouveau: familier, rien n’était plus étranger, je n’étais plus étranger dans ce monde, j’étais le fils de Dieu.

J’étais en première année d’Uni, j’assistais aux cours, aux séminaires, bien que mon esprit fut à chaque instant accaparé par l’étonnement de cette découverte perpétuelle: le monde est, je suis. Je n’en ai parlé à personne. L’idée même d’en parler ne m’a pas effleurée, comme si cela aurait été incongru. Peut-être aussi parce que je ne savais pas mettre de mots sur ce qui m’arrivait. Le chemin de développement spirituel proposé par l’anthroposophie de Steiner ne parlait pas de l’éveil, mais du développement de facultés supérieures, qui permettraient d’acquérir des connaissances sur les mondes supérieurs. Rien de tout cela ne m’était arrivé; je m’en croyais donc encore aux préliminaires. Mais cela me suffisait, j’étais comblé. Je ne me considérais pas comme “réalisé”, je n’avais acquis aucune faculté ni aucune connaissance, j’avais simplement découvert la réalité. La Réalisation, je pensais que c’était parler avec les Anges, et qu’il fallait pour cela être Initié. Je fréquentais depuis trois mois un groupe d’étude anthroposophique où tous ces points de vue étaient développés avec beaucoup de sérieux, et je les suivais avec passion. Mais là non plus personne n’a rien vu, et je n’en ai pas dit un mot.

 

Certains imaginent que l’éveil rendrait le sujet rayonnant, qu’il dégagerait une “aura” perceptible. Pas du tout. L’éveil rend transparent à l’être, et celui qui le devient n’est pas plus rayonnant qu’une pierre (elle aussi est parfaitement transparente à l’être). Lui-même perçoit un certain décalage, un certain étonnement le saisit parfois à voir l’affairement autour de lui. Une fois la première phase de vertige passée, je ne me sentais pas vraiment différent des autres — en tous cas pas plus différent qu'avant — car je ne percevais pas directement qu’ils n’étaient pas éveillés. Je les voyais être, au même titre que les pierres, sans lire sur eux qu’ils étaient enfermés — j’avais moi-même en bonne partie oublié ce que c’était, comme lorsqu’on s’éveille on oublie ce que c’est que dormir —, et je ne m’en rendait compte qu’indirectement, lorsque leurs soucis détonnaient dans l’harmonie du monde, trahissant leur cécité à cet être si limpide qui se donne.

 

(A suivre…)

Partager cet article
Repost0
18 octobre 2011 2 18 /10 /octobre /2011 16:08

 

110_F_4945175_dlELKcx77t7wEyi6jMc8DhKORnDB6Rta

 

Merci à l’amie qui m’a permis de découvrir ce site :

http://www.cafe-eveil.org/

 

L’impact ce cet “entretien” a été si grand, si essentiel pour moi , que je devais contribuer à la divulgation de ce texte. Bonne lecture !

 

Entretien de joaquim avec Oniris

 

Joaquim, vous administrez un forum ayant pour thème « L’éveil », qu’est-ce qui a motivé cette démarche ?

 

En 2003, à un âge qui ne s’y prêtait pourtant plus, je suis tombé fan d’une star de la chanson. Gloup! Je ne vous dirai pas qui, pour ne pas entamer dès le départ tout mon crédit.:) C’est à cause d’elle qu’en manque d’informations, je suis parti enquêter sur le Net. Après quelques recherches, j’ai atterri sur un forum de discussion qui s’ajustait comme un gant à ma fièvre du moment. Ce fut l’occasion pour moi de découvrir cette nouvelle forme de communication: je fus surpris par la qualité des liens qui pouvaient se nouer à travers l’échange autour d’une passion commune. Ma folie dura 6 mois, puis retomba comme elle était apparue. Un an plus tard, je revins faire quelques apparitions sur ce forum, mais le cœur n’y était plus, malgré la chaleur de l’accueil. Le désir d’échanger était pourtant bien là, mais plus sur ce sujet. Jamais jusqu’alors, je n’avais imaginé partager ouvertement ce qui m’habitait depuis plus de 25 ans, et constituait véritablement ma passion. L’évidence s’imposa alors à moi dans toute sa lumière, et trois jours plus tard, après m’être frotté aux premiers rudiments de l’édition internet, j’avais installé mon forum phpBB, et vérifié au passage la qualité des échanges qu’il permettait, en me voyant contraint de m’adresser au forum de support pour me sortir d’une impasse informatique dans laquelle je m’étais empêtré. J’ai ainsi mis quelques textes en ligne, comme une bouteille qu’on lance à la mer, attendant que quelqu’un veuille bien l’ouvrir et me répondre. “On” tarda à me répondre, mais lorsque je découvris, à la suite d’un étonnant concours de circonstances, “qui” m’avait répondu, j’en restai interdit. Et je sus que j’avais planté mon arbre en pleine terre.

 

Votre site s’intitule « Regards sur l'éveil », pourtant, vous concernant, vous y parlez de « …l'expérience de désappropriation radicale qui avait retourné comme un gant ma conscience clôturée… » aujourd’hui encore vous dites « …ce qui m’habitait depuis plus de 25 ans… ».
Pourquoi ne pas employer le terme « d’éveil » ?

 

L’éveil, ça n’existe pas. La seule chose qui existe, c’est une personne qui disparaît en tant que conscience limitée et qui se découvre illimitée. Dès qu’on parle de l’éveil, on en fait par la force des choses un objet du discours, autrement dit on en fait un objet éprouvé par un sujet, ce qui revient à le trahir, puisque la dualité sujet-objet est précisément ce qu’il est censé abolir.

On a le droit de parler de thé, par exemple, parce qu’on ne prendra jamais le mot thé pour du vrai thé, et que le mot servira à éveiller efficacement le souvenir de ce qu’est le thé. Le concept du thé est fidèlement associé à son souvenir. Le souvenir du thé se constitue à partir des multiples fois où on en a goûté, et les résume toutes. L’éveil, ce serait plutôt comme la madeleine de Proust. Lorsqu’il goûta à cette fameuse Madeleine, Proust adulte fut subitement transporté dans l’expérience qu’il avait faite enfant de cette même madeleine, et son moi d’enfant s’éveilla littéralement dans son moi adulte. Il revivait la scène d’enfant, de l’intérieur. Plus vraie encore que lorsqu'il était enfant. Ses tentatives ultérieures pour provoquer à nouveau la même expérience échouèrent. Tout ce qu’il lui restait, c’était la certitude qu’«une minute affranchie de l’ordre du temps a recréé en nous pour la sentir l’homme affranchi de l’ordre du temps.» Il avait été transporté, par la grâce d’une madeleine, hors du temps, dans l’éternité. Mais s’il lui était toujours loisible d’évoquer le souvenir de la madeleine, il ne lui était plus possible d’évoquer celui de l’expérience qu’il cherchait à revivre. Il pouvait évoquer les circonstances, mais pas le contenu de l’expérience. L’évoquer, c'aurait été le revivre une nouvelle fois. Et c’est la même chose pour l’éveil. L’évoquer, au sens strict, c’est le vivre. Toute autre évocation n’est que malentendu sur l’objet. Je peux parler de l’éveil, comme Proust pouvait parler de son expérience de la madeleine, mais en étant bien conscient qu’on ne fait par là que désigner maladroitement quelque chose par des mots, qu’on fait même moins que l’évoquer: on en désigne seulement l’emplacement vacant. C’est pourquoi, pour limiter le risque de chosifier l’éveil, je préfère utiliser des métaphores, qui ont l’avantage d’obliger l’esprit à une certaine gymnastique pour s’en approcher, et signalent en même temps, par la difficulté qu’on éprouve à se représenter clairement la chose évoquée, que celle-ci n’est justement pas une chose.

 

Par contre, en disant: « …ce qui m’habitait depuis plus de 25 ans… », je ne faisais pas référence à l’éveil lui-même; je n’aurais pas l’idée de prétendre que l’éveil m’habite depuis 25 ans. L’éveil est toujours là, il est l’éternité présente à portée de main. Mais il n’est jamais acquis, il est à réaliser, neuf, à chaque instant; bien heureusement d’ailleurs, car c’est ce qui en préserve l’éternelle virginité. Dès qu’on le croit acquis, c’est qu’on est retombé dans la possession de l’objet, et donc qu’on l’a perdu; et on ne le retrouve qu’à travers l’abandon de cette nouvelle chose à laquelle on commençait déjà à s’attacher.

 

(A suivre…)

Partager cet article
Repost0
13 octobre 2011 4 13 /10 /octobre /2011 16:53

 

image

De la simplicité d’être

L’éveil, l'illumination … On aimerait tant faire partie de l’élite éveillée …
Ces gens si parfaits … Ces êtres extraordinaires aux pouvoirs divins…
Cet état qui ne peut être atteint que par quelques privilégiés au karma sans faille…
Et si tout cela n’était qu’un rêve, une illusion ?
Si tout ces êtres étaient comme vous et moi ?
Si tous ces êtres éveillés n’étaient finalement que des gens ordinaires qui ont perçu à quel point tout est simple ?
Et si cette simplicité était déjà en nous ?
Et si nous étions tout simplement déjà éveillés sans le savoir ?
C’est cette simple réflexion qui a tout changé, c'est là que tout à basculé …

Page originale

 

image

…entre êtres humains dans le monde entier est remarquable
par John Smallman le 12/10/2011

Votre progression vers l'éveil s'accélère à l'approche de cet évènement mémorable, et presque tout le monde se sent excité tout en expérimentant un fort sentiment d'attente. Vous ressentez l'approche du moment de votre éveil. Cela peut sembler étrange, incertain, voire inconfortable, et pourtant vous ne pouvez pas vraiment exprimer ou comprendre ce que vous ressentez, car ce n'est pas habituel. Aller de l'état d'inconscience, qui vous a maintenu pendant des éons dans l'illusion, à la pleine conscience est déconcertant car c'est peu familier. Mais cette sensation ne durera pas parce que vous allez vous éveiller, et que tout doute, toute incertitude, toute déconfiture et tout inconfort se dissiperont lorsque vous vous retrouverez à nouveau dans votre maison joyeuse et familière. C'est un état que vous avez oublié, et que, pourtant, vous n'avez jamais quitté…

Page originale traduite par Christine DU TOUT ET DU RIEN

 

Voilà deux exemples extraits de textes que vous pourrez lire sur ce blog qui conjugue l’esthétique à la profondeur de la pensée ; Christine écrit, traduit ou sélectionne les meilleures productions actuelles.

Bonne et fructueuse lecture !

Wakanda

Partager cet article
Repost0
4 octobre 2011 2 04 /10 /octobre /2011 22:48

 

image

http://www.lesmurs.org/

 

Dans l’incontournable ouvrage « Des Murs entre les Hommes » d’Alexandra Novosseloff et de Frank Neisse, Latifa, réfugiée sahraouie, raconte les circonstances dans lesquelles sa famille a été séparée, il y a plus de trente ans :

« Nous avions fui tous ensemble en 1975, mes parents ainsi que mes frères et sœurs ont voulu retourner à la maison pour récupérer quelques bagages. Les combats ont repris et la ville a été fermée. Ils n’ont pas pu quitter la maison. C’est la dernière fois que je les ai vus ».

Les forces royales marocaines ont érigé, cette année-là au Sahara Occidental, un mur de sable sur plus de 2000 km.

« Les murs de séparation », appelés aussi « murs de la paix » ou plus pertinemment « murs de la honte », sont les tristes vestiges de quelques réflexes primitifs. Ces murs volent des vies, confisquent des familles, violent des terres, enferment, torturent et condamnent des peuples. N’est-il pas temps d’ouvrir enfin les débats sur cette triste réalité érigée au nom de quelques théories qui prônent la réconciliation par la séparation en oubliant que la paix ne peut se faire qu’ensemble ?

Toute la force du net est de pouvoir ouvrir dans ces murs des fenêtres pour nous inviter, au même instant et partout à la fois, à rencontrer, échanger, établir ou restaurer des relations, des débats et des idées empêchés par la stratégie absurde de quelques minorités qui prétendent signer les plus belles pages de la grande histoire en oubliant le drame des petites. C’est précisément à partir de ces petites histoires que nous vous proposons humblement d’essayer d’infléchir la grande.

Ce site vous invite donc à un tour d’horizons bouchés par cette vieille et tenace faiblesse humaine : l’emmurement de l’autre, synonyme de l’enfermement de soi. Si, dans un premier temps, ce sont les murs de la honte, vulgarité suprême, que nous avons choisi de discréditer, c’est qu’ils sont le point de départ et d’arrivée de ceux qui se dressent dans nos têtes en tristes miroirs de nos sociétés. De nos prisons à nos frontières, de chaque citoyen à quelques copropriétaires de lotissements emmurés, on finit toujours par céder, plus ou moins secrètement, à ces raisonnements simplistes qui séparent le bien du mal loti par un amas de pierres, aveu d’échec passé, présent et à venir. C’est précisément cette douloureuse expérience dont il est nécessaire, à l’aube du troisième millénaire, de tirer toutes les conséquences pour enfin comprendre que l’homme moderne se doit de diriger ses enfants vers des attitudes davantage humaines. Faute de dirigeants visionnaires qui ont toujours une échéance électorale d’avance lorsqu’ils vous serrent la main et un siècle de retard lorsqu’ils gouvernent à coup de faux débats ou de vraies lois plus calculées que réfléchies, chaque citoyen a le pouvoir de projeter sa société au delà de la carrière de ses présidents et d’éduquer sa jeunesse pour éloigner ses descendants de ces logiques d’autres temps jamais justifiées que par des stratégies narcisso-électorales.

N’est-il pas temps d’ouvrir les débats ?

http://www.lesmurs.org/

Partager cet article
Repost0
4 octobre 2011 2 04 /10 /octobre /2011 22:01

 

 

 

image

"S'il y a un endroit où tout est possible c'est le théâtre"

Christophe Huysman

Autour des Murs, est un projet qui a emmené en Palestine, en Israël, à Chypre, à Berlin et, dans les mois à venir emmènera aux Etats-Unis et dans les pays où on érige des murs, une équipe de comédiens et techniciens originaires de quatre continents pour présenter une création ayant pour seul décor ces murs qui séparent, humilient et anéantissent l’ultime chance de paix entre les peuples en faisant le jeu des extrêmes.

Articulée autour d’un travail corporel et sonore, cette création, « Duo pour un mur », fait, quelques semaines avant la représentation, l’objet d’une collaboration avec des artistes locaux (danseurs, musiciens, comédiens, peintres, photographes, cinéastes... des deux côtés du mur) et s’adresse à un public de tous âges et tous horizons sans qu’il y ait le moindre problème de lisibilité ni de compréhension. C’est ainsi qu'à chaque étape, nos étonnantes, détonantes et innombrables rencontres font naître et vivre une création en perpétuelle évolution. Ce site est le résultat d’une irrésistible envie de vous faire partager notre expérience et de sensibiliser, au delà des planches, le plus large public possible à un problème qui nous enferme tous.

L’objectif de ce projet étant avant tout d’ouvrir un débat sur un thème à peine abordé, -combien d’entre nous sont capables d’énumérer la longue liste des « murs de la paix »?- il ne s’agit en aucun cas de polémiquer mais d’échanger, de comprendre, de s’informer et d’informer, d’évoluer et de, à notre infime échelle, faire évoluer. Bref de faire le mur à travers une création et un site qui devront forcément prendre de la hauteur pour dire, témoigner, crier et finir peut-être même par prendre conscience de l’ampleur de cette absurdité.

Pour en savoir plus nous vous invitons à découvrir :

image

« Ainsi de suite a commencé chez les grands, puisqu’il s’est installé dans l’Hôtel Maynier d’Oppède, à AIX EN PROVENCE, haut lieu du festival d’Art Lyrique ! Ici le jeu est roi, il se manifeste pour hurler vie et culture. Le Petit Futé aime ce caratère si fièrement culturel au sens singulier, émotif, fragile et citoyen du terme qui nous entraîne dans le labyrinthe de la vie, dans les secrets du sensible avec des programmes minutieux et denses.

On y voit "Tennessee Williams" réadapté, "Socrate" réincarné et "Don Juan" rouler ses mécaniques sentimentales... Le secret de telles représentations dans ce théâtre aixois qui n’arrête pas de monter est sans doute son implantation dans le monde si actif de la scène et l’intimité que provoque cette petite salle. Un lien que recrée la Compagnie du lieu qui donne avec grand talent de nombreuses représentations. »

A découvrir : le site http://www.ainsidesuite.com/

                             le blog http://www.histoiresdenrireoudenpleurer.org/

Et surtout les spectacles, vous ne serez pas déçu !

Partager cet article
Repost0
3 octobre 2011 1 03 /10 /octobre /2011 22:43

 

 

image

 

Collection : Hors collection

L’Alchimie de l’homme
Yvan Amar
Le nouvel inédit posthume de Yvan Amar.

Peu avant l’aggravation de sa maladie et sa mort, Yvan Amar à tenu à diriger un séminaire uniquement réservé aux hommes, car disait-il, il ne voulait voir aucune interférence de jeux de séduction ou de façade dans la réflexion qui leur était adressée. Il pensait en effet que l’homme, le mâle d’aujourd’hui, devait profondément se mettre en cause dans sa façon d’exister au monde et il explique pourquoi trois jours durant. Le livre est le fruit de ce moment profond et inattendu, une méditation sur un chemin qui exige une consécration, un engagement sans faille dans lequel la séduction, les stratégies du pouvoir, les formes diverses de corruption, les concessions, les compromis, les mensonges ne sont plus possibles.

 

 

La pensée comme voie d'éveil

Collection : Poche

La pensée comme voie d’éveil
Yvan Amar

La pensée est un outil précieux et indispensable pour ne pas se fourvoyer en se laissant entraîner et parasiter par nos émotions et notre imagination. Cela est vrai dans le domaine de la vie quotidienne sous tous ses aspects mais aussi dans l’univers de la recherche spirituelle où, trop souvent le rôle de la pensée se trouve relégué, voire nié, au profit de l’émotion religieuse et de l’introspection passive.
De ce fait, il y a de nombreuses façons de se faire du mal et de nuire à autrui parce qu’on s’adonne d’une façon incohérente, non responsable et non rigoureuse à la spiritualité.
Dans cet ouvrage, Yvan Amar explique avec clarté comment agir et penser juste.

 

Les Béatitudes

Collection : Temoins Spirituels

Les Béatitudes
Préface de Frère Antoine
Yvan Amar

" Qu’ils sont beaux sur la montagne les pieds du messager qui annonce la paix, du messager de bonne nouvelle qui annonce la délivrance, le Mebassèr, celui qui s’adressant à Sion, dit : "Ton Dieu règne" ( Isaïe 52.7).
Faisant suite aux Dix Commandements et à la révélation du "Je suis", Yvan Amar explore ici l’enseignement des Béatitudes délivré par le"Je suis" vivant au sommet de la montagne.
Si les Dix Commandements se révèlent être le chemin du "Faire Dieu", Les Béatitudes tracent dans le désert de ce monde les voies d’un royaume dont le nom est " Nous sommes".
Et l’appel neuf fois répété nous pousse au travail de naissance, à la mise au monde de ce royaume : " en marche...".

 

image

Collection : Poche

Les nourritures silencieuses
Aphorismes
Yvan Amar

Ce recueil d’aphorismes spirituels est un livre de sagesse. Il invite le lecteur à s’intéresser avant tout à son humanité. A ne pas faire de la spiritualité un refuge pour éviter les embarras causés par la société et autrui.

Chacun de ces aphorismes est une remise en cause de nos croyances, de nos automatismes mentaux et verbaux, de nos habitudes fossiles. Ils incisent, interpellent, insufflent, malmènent et caressent l’âme du lecteur. Ils invitent à l’obligation de conscience : vivre consciemment toutes nos relations en prenant le risque de l’autre.

Voici donc un livre d’humanité sur la grâce, le pardon, le risque, la foi, le désir, la compassion, la joie, la confiance. Yvan Amar avait le don de poser de bonnes questions et d’y apporter des réponses lucides.

 

http://www.editions-du-relie.com/Les-nourritures-silencieuses

Partager cet article
Repost0
1 octobre 2011 6 01 /10 /octobre /2011 17:04

 

 

Yvan Amar

Yvan Amar

Fondateur des Editions du Relié .

Yvan Amar (1950-1999) est un philosophe novateur et est considéré comme un des sages qui ont éclairé la fin du XXéme siècle.
Il a publié aux Editions du Relié : Les nourritures silencieuses, La pensée comme voie d’éveil et L’Obligation de conscience ainsi qu’un guide pratique avec CD audio, La conscience corporelle.. Il a publié chez Albin Michel, L’effort et la grâce, Les dix commandements intérieurs, et le Le maître des béatitudes.
Marie de Hennezel lui a consacré un livre entier : Mourir les yeux ouverts, paru en Mars 2005 aux Editions Albin Michel et réédité fin 2007 chez Pocket.

Site officiel

Ses livres au Relié

 

L'obligation de conscience

Collection : Poche

L’obligation de conscience
Une réédition en poche attendue !

« Pourquoi l’être humain souffre-t-il ? Dans la tradition, qu’elle soit biblique ou pré-biblique, la question de l’origine de la souffrance, et tout particulièrement de la souffrance apparemment injuste de l’homme juste, marque une interrogation fondamentale de l’homme. Qu’est-ce qui peut bien justifier cette souffrance ? En posant la question non seulement de l’origine de la souffrance, mais de la permanence de cette souffrance, même chez les êtres qui essaient de vivre de façon juste, nous sommes confrontés à une interrogation qui nous oblige à aller plus loin que les réponses toutes faites, pré-pensées pour nous. Ce qui conduit à se poser la question : quel courage faut-il pour affronter la vérité du quotidien, ne plus l’éviter par le rêve, fût-il spirituel ? Goethe dit : « Pousse hardiment cette porte devant laquelle la plupart s’esquivent ». Cela veut dire qu’i faut avancer dans la vie avec ce courage qui est la vertu d’un cœur et d’un esprit unifié.
Dans cet ouvrage Yvan Amar nous montre, avec une grande profondeur, combien les souffrances de nos vies peuvent aider à l’évolution de notre conscience d’être.

 

La conscience corporelle

Collection : Poche

La conscience corporelle

Yvan Amar aimait enraciner sa philosophie dans l’expérience pratique. Et c’est une chance que d’avoir retrouvé un de ses séminaires enregistrés où il incarne son enseignement de sagesse dans des exercices physiques dont il dirigea sur place l’élaboration, avec sa clarté et sa précision habituelles.
Le lecteur se trouve ainsi convié à un vrai cours de philosophie pratique, avec la possibilité de suivre, geste après geste, la réalisation de ces exercices d’éveil à soi, simples et accessibles.

- Le pacte d’alliance
- Le miracle du genou
- La station debout : magie de l’équilibre
- les rythmes du corps
- Mon corps sait-il aimer ?
- Qu’est-ce qu’un corps vivant ?
- La métamorphose de la conscience.

 

A SUIVRE dans les prochains articles.

Partager cet article
Repost0
19 septembre 2011 1 19 /09 /septembre /2011 01:08

http://www.labofractal.net/accueil.html

 

image

 

Epilogue

Fractal existe depuis 1997. Plus de 90 000 patients ont été traités par les différents Fractals. L’homéodynamique Fractal a permis de sauver et d’améliorer plusieurs milliers de vies humaines. Plus de 180 conférences (au 30 Septembre 2007) ont été données par M. Haddad, à travers le monde. Nous sommes au service et à l’écoute des patients, et de la recherche du savoir.

Avec humilité et sagesse nous essayons de faire de la médecine informationnelle une médecine humaine, qui répond aux besoins de chacun. Le Fractal a ouvert les portes de la médecine quantique, se basant sur des vérités cliniques. Plus de 1400 médecins et thérapeutes prescrivent Fractal, avec des résultats intéressants sur la plupart des pathologies connues de nos jours.

Des échecs ? Bien sûr que nous en avons, ce n’est pas un remède miracle, mais une nouvelle médecine qui ne fait que progresser de jour en jour. Le Fractal n’est pas une médecine parallèle, mais plutôt une médecine convergente.

 

image

 

Historique et naissance des Fractals

L’idée de départ a émané de M. Haddad, biophysicien docteur en médecine, directeur de recherche des laboratoires FRACTAL et auteur du livre " le déclin du cancer ". Elle se résume dans la considération de la maladie sur l’échelle spatio-temporelle, et non sur l’aspect symptomatique : en effet, il n’y a pas de symptômes spécifiques pour les cancers ou pour d’autres maladies graves, car seules des analyses poussées peuvent confirmer un diagnostic posé...

 

Partant de cette idée M. Haddad a cherché dans la nature des éléments qui devaient avoir une grande vitalité, et qui en dilution homéopathique s’opposeraient à tout ce qui est " extrêmement " vivant comme la cellule cancéreuse ou un germe infectieux par exemple. Au cours de ces recherches dans la nature, 5 éléments ont été sélectionnées, pour leur grande vitalité, mesurable avec des moyens scientifiques comme les compteurs bêtas (machine qui quantifie l’énergie des rayonnements bêtas émis par toutes les substances naturelles, sur une échelle en Kilo électron volts).

Elles présentent des propriétés communes, caractéristiques et complémentaires en termes vibratoires. Ces éléments, une fois mélangés à dosages précis, vibrent à plus de 125 000 coups/minute sur 1 kilo-electronvolts (tenant compte du phénomène de la chimiluminescence), sachant que toutes les autres plantes sur terre ne dépassent jamais, pour les meilleures, les 2500 coups / minute. Ces cinq éléments sont : pépins de figues, noyaux de dattes, blé, noyaux d’olives, et miel. La maladie est une évolution dynamique sur l’échelle du temps. Les cancers sont une évolution avec un retour vers la jeunesse. La cirrhose du foie ou les affections rhumatismales par exemple ressemblent à un vieillissement précoce. Tout est évolutif dans un sens ou dans l’autre. En ce qui concerne les fractals, nous avons 114 dilutions Korsakoviennes de ces 5 éléments. Pourquoi pas 115 ? En effet à la 115 éme dilution nous avons un signal sur machine RMN, identique à la première dilution. Ce qui signifie, que la boucle se referme.

Pourquoi 114 et non 115 ; pourquoi y avait-il 99 dilutions donnant un signal machine de nature similaire, tandis que la centième dilution était unique ; pourquoi les 14 restantes avaient-elles un signal machine assez particulier. ??? En réalité il a fallu plus de quatre années pour répondre à ces questions. Au début les premiers tests furent réalisés sur des cultures in vitro de carcinome A 546, où 175 boîtes avaient reçu diverses dilutions, selon un protocole rigoureux et sous hotte à flux laminaire. La surprise fut de taille en constatant que les 5 boîtes qui avaient reçu le 5 CH, avaient péri le 5éme jour, suite à un mécanisme d’infection, malgré l’antibiotique nécessaire que comportaient les milieux de culture. C’était début 1998. L’expérience a été reproduite après isolation du germe infectieux responsable.

Les concepts scientifiques de M. Haddad, intègrent et prolongent les travaux du père de l’Homéopathie (Samuel Hahnemann), permettant l’élaboration de produits homéopathiques qui sont les seuls à opérer sur l’être humain dans ses neuf dimensions.\r\n- Ce sont plus de 52 000 patients (au 31 déc. 2005) traités en France avec des succès quotidiens sur des maladies graves comme le cancer, les dépressions nerveuses la sclérose en plaques, le diabète, la polyarthrite rhumatoïde, troubles hormonaux, migraines, insomnies, troubles cardio-vasculaires, allergies ... Des échecs ? Bien sûr qu’il y en a, et nous essayons de comprendre de mieux en mieux le pourquoi ? Les Fractal ont évolué plus de 14 fois : les produits constitutionnels sont les mêmes, mais la fabrication change, comme la dynamisation photonique sous vide poussé ou le travail en yin et yang, ce qui représente de nouvelles techniques mises au point par M. Haddad, fondant ainsi une homéopathie dynamique.

Partant de 114 Fractals différents, la recherche permanente de M. Haddad a permis de mettre au point un seul et unique produit : le Vortex A-B-C-D-E et F. C’est par le bouche à oreille et l’échange d’informations d’un thérapeute à l’autre, que le Fractal continue à se faire connaître. A ce jour, plus de 182 conférences sont données par M. Haddad, au Portugal, en Allemagne, en Pologne, en Suisse, en Italie au Canada et en France.

Partager cet article
Repost0
3 septembre 2011 6 03 /09 /septembre /2011 23:17
www.editions-tredaniel.com/vladimir-megre-auteur-1186.html 
 
Vladimir Mégré
Mégré Vladimir

Biographie


Vladimir Mégré, Auteur de la série «Les cèdres qui tintent de Russie»

L'essentiel de ce que l'on connait de la vie de Vladimir Mégré est transcrit dans ses romans. Adolescent dans les années 1960, il rendait alors régulièrement visite à un moine de l'actuelle ville de Zagorsk (à l'est de Moscou). A la faveur de la Perestroïka des années 1980, cet entrepreneur dans l'âme devient un capitaliste prospère grâce à une flotte de bateaux qu'il affrète sur la rivière de l'Ob, au Nord de Novosibirsk.

En 1994 lors de l'un de ses voyages Vladimir Mégré apprend l'existence de « cèdres qui tintent » par deux hommes âgés. Ces cèdres que l'on trouverait au plus profond de la Taïga emmétraient un son caractéristique. Cette musique étrange signifiant qu'après des centaines d'années d'existence les cèdres sont murs pour être coupés et utilisés pour leur remarquable propriété de guérison.
Retournant sur place en 1995 pour trouver ses fameux arbres, il rencontre une jeune femme se présentant comme la fille et petite-fille des deux hommes. Celle-ci vit seule dans la forêt, sans aucune compagnie ni aucune autre ressource que celle de la nature environnante. Elle le conduira enfin aux mystérieux cèdres .
Durant les trois jours que Vladimir passe avec elle, elle lui révélera de nombreux secrets de la Nature et de l'Univers perdus depuis longtemps par l'humanité « civilisée ».

Abandonnant sa carrière de Business-man Vladimir Mégré se lance dans l'écriture. Il publie en 1996 son premier livre « Anastasia », totalement anonyme l'auteur vend l'ouvrage à la main dans le métro de Moscou. Mais très vite les quelques acheteurs des premières copies, fascinés par ce livre, en achètent pour leurs amis et connaissances, c'est le début du succès, et rapidement un grand éditeur décide de l'imprimer massivement.

www.editions-tredaniel.com/vladimir-megre-auteur-1186.html

Partager cet article
Repost0
2 septembre 2011 5 02 /09 /septembre /2011 22:47

Anastasia

 

 

Dans la taïga sibérienne en Russie vit dans un coin perdu une jeune femme extraordinaire, loin de tout contact avec la société moderne.  Elle possède des connaissances de l'Univers, pourtant elle n'a ni livres, ni télé, ni radio. Tout ce qu'elle a,  c'est une clairière entourée de cèdres, un petit lac et des animaux sauvages qui lui obéissent au doigt et à l’œil et prennent soin d’elle.

 

Anastasia - ainsi s'appelle cette ermite sibérienne -  ne gèle pas à une température de moins trente degrés. Elle est une énigme pour  plusieurs savants. Anastasia parle facilement dans toutes les langues du monde, ainsi elle connaît l'histoire de différents peuples et cultures, possède des connaissances étonnantes étroitement liées au cosmos et à la nature..

 

En 1994 elle croise le chemin de Vladimir Megré, un jeune homme ordinaire, entrepreneur dans le domaine du commerce fluvial en Sibérie. Cette rencontre bouleverse la vie de Vladimir et sous l’inspiration et l’encouragement de Anastasia il décrit dans huit livres leur rencontre, leur vécu ensemble, leurs discussions et les événements survenus après les premières publications.

 

Ces publications connaissent un succès immédiat et fulgurant d’abord en Russie, ensuite dans les pays de l’Europe de l’Est, en Europe occidentale, aux États-Unis et au Canada. Son message va droit au cœur, éclaire l’esprit et illumine l’âme.

 

Anastasia explique à travers ces livres comment organiser sa vie sur un hectare de terre, travailler et créer pour ses propres besoins et non pas pour vendre et s’enrichir, comment vivre de son propre travail et de sa propre terre, en paix et en harmonie avec la nature, sans stress ni maladies.

 

Des milliers de gens se rassemblent autour de l’espoir d’une vie meilleure, qu’inspire Anastasia à travers ces livres – d’une vie à trois – Dieu, la Nature et l’Homme – sans intermédiaires. Les gens se réveillent, prennent conscience de la vie avec une force nouvelle, se rappellent  des vrais valeurs et priorités dans la vie humaine.

 

Des clubs se créent partout, les gens s’organisent, cherchent leur bout d' hectare de patrie où commencer une nouvelle vie, où renouer leurs liens avec la nature et les valeurs essentielles de la vie. Et pourtant cela n’a rien à voir avec une révolution, ni une découverte extraordinaire, car on retrouve les mêmes principes d’Amour, de Bonté, de Foi et de respect pour la Nature dans les plus grandes religions et courants spirituels dans le monde. Tout simplement son message  vient au bon moment, quand les consciences s’éveillent, sont particulièrement réceptives, sensibles à ces idées et atteignent la masse critique. Ainsi Anastasia  nous décrit d’une façon claire et explicite, presque comme dans un manuel d’utilisation, une alternative de vie meilleure que  notre société hiérarchisée, matérielle et injuste, au bout de ses limites,  ne veut pas et ne peut pas nous offrir.

 

Ainsi, pour le peu de temps qu'il me reste à vivre en ville, j’ai décidé de combler le vide que représente le manque d’un site francophone dédié à cette merveilleuse Anastasia et de traduire une partie du contenu de chaque livre en français. Soyez indulgents envers mon style d’écriture pas tout à fait français ou pour les petites fautes éventuelles, car je ne suis pas de langue maternelle française. J’espère toutefois que mon enthousiasme et mes connaissances en langue française seront suffisants pour réussir à vous transmettre la flamme à travers ces humbles efforts.

 

N.B. Ma traduction étant un travail bénévole et non lucratif, les textes traduits ne doivent  pas être copiés pour une utilisation lucrative. Merci. 

 

 

Source : Anastasia : http://www.siberian-anastasia.net/

 
Partager cet article
Repost0