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  • : espace-relaxation-wakanda
  • : Pour le bien-être, la santé, la vitalité et l'écologie... De la relaxation à la méditation, du corps à l'esprit... Entrer en harmonie avec soi et son environnement, s'établir dans la paix et la joie intérieures, cultiver et manger bio...
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Blog écolo et source d'eau pour un enfant

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Si, malgré ma vigilance, une image de ce blog n'était pas libre de droit, je m'engage à la retirer dès que j'en recevrai la demande, avec mes excuses et mes remerciements pour en avoir disposé jusque là.

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TRADUCTION/TRANSLATION

ESPACE RELAXATION WAKANDA

  Dans les Alpes de Haute Provence, entre Manosque et Sisteron

Cours relaxation

libérer les tensions musculaires et psychiques, stimuler l'énergie vitale

Préparation aux examens

gérer le stress, renforcer attention, concentration, mémorisation, confiance en soi...

Aide aux enseignants

techniques spécifiques pour l'enseignant confronté à la complexité de son métier et aux tensions omniprésentes dans les établissements scolaires.

Aide aux enfants et adolescents en difficultés scolaires développer attention et concentration par l'accès à un état psychomoteur apaisé et réceptif.

 

  • Stage 1

Tout pour le bien-être, la santé, la vitalité

Apprentissage et intégration de techniques de relaxation (allongé, assis, debout, en mouvement)

Echanges pour clarification, décodage et appropriation effective

Techniques étirement, assouplissement,

Auto-massages 

Regard sur alimentation et sommeil,

interactions avec l'environnement

  • Stage 2 

De la relaxation à la méditation,

du corps à l'esprit...

Trouver en Soi un espace de plénitude, de paix, de joie indépendamment du vécu

Passer de la réparation des blessures, traumatismes, mémoires de tristesse, de peur à

la guérison en ré-alignant toutes les composantes de soi-même dans l'être intérieur.

 

 
 

 

La Relaxation

 

Conditions préalables

  • Une pièce calme, dans la demi obscurité, une température moyenne 

  • Des vêtements lâches, ni trop chauds ni trop légers 

  • Soit en position assise (fauteuil confortable, nuque bien calée et bras reposant sur les accoudoirs)

  • Soit en position allongée, la tête un peu soutenue et une légère couverture sur le corps.

Le patient a les paupières fermées, il est immobile et se concentre sur ses sensations.

Contre-indications

  • Sujet réfractaire au relâchement par une volonté toujours tendue 

  • Sujet trop inconscient et ne pouvant participer à l’écoute de ses sensations et pensées 

  • Pathologies sévères (schizophrénie, troubles cardiaques graves, psychose paranoïaque)

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28 novembre 2012 3 28 /11 /novembre /2012 18:31

 

 

 

Pour de multiples raisons liées à leur évolution, plus de 80 % des plantes à fleurs du monde dépendent pour leur reproduction et leur survie du travail de pollinisation extraordinaire accompli par les abeilles. Sans abeilles, pas de fruits ni de légumes, ni tout un tas d’autres cultures dont nous dépendons directement pour notre alimentation. Et pas non plus de tilleuls, de châtaigniers, d’églantiers, de centaines d’espèces d’arbres, de buissons et de plantes... sans parler de toute la chaîne d’animaux qui en dépendent directement pour leur survie.

 

Voici pourquoi l’éventualité de leur disparition doit être prise très au sérieux. La fin des abeilles signifierait rien de moins que la fin des écosystèmes que nous connaissons aujourd’hui.

 

Comment empêcher ce cataclysme silencieux qui nous menace aujourd’hui ?

 

- La solution américaine : l’apiculture industrielle pour résoudre les problèmes causés par l’agriculture industrielle.

 

Aux Etats-Unis, où le nombre d’abeilles et de bourdons a chuté de façon exceptionnelle ces dernières années, la production agricole est déjà menacée par la rareté des pollinisateurs.

 

A la saison où les milliers d’hectares d’arbres fruitiers plantés en Californie explosent en bouquets de fleurs roses et blanches, des centaines de semi-remorques chargés jusqu’à la gueule de ruches empilées les unes sur les autres sur dix étages convergent de tous les coins du pays vers les arbres à polliniser. Les apiculteurs les disposent par petits paquets au milieu des amandiers et des cerisiers, dont la production chuterait de 40% en l’absence des ces pollinisateurs importés.

 

C’est un service qui se paye bien sûr. Et de plus en plus cher - les apiculteurs perdant à chaque fois près de 50 % de leurs abeilles dans ce festin empoisonné (jusqu’à 24 pulvérisations des pesticides par an pour certains arbres fruitiers). Ce prix à payer est bien sûr intégré aux coûts de production des apiculteurs.

 

Le reste de l’année, les apiculteurs le consacrent à reconstituer leurs ruches, en important des reines et des essaims de l’étranger, ou en pratiquant l’insémination artificielle de reines à tours de bras.

 

Problème : l’érosion génétique des colonies, et l’impossibilité pour les abeilles d’évoluer naturellement et de s’adapter aux aux maladies qui, elles, évoluent d’autant plus vite que les colonies d’abeilles sont de plus en plus confinées les unes sur les autres, comme dans des élevages en batterie.

 

Pour résister, les essaims sont traités systématiquement à coups d’antibiotiques à large spectre qui accélèrent l’évolution des parasites et des pathologies qui touchent les abeilles.

 

Résultat : Monsanto vend des essaims pour repeupler les ruches, et Bayer vend les médicaments pour essayer de soigner les maladies qui déciment les abeilles.

 


Comment agir ?

Rendez-vous sur le site http://www.pollinis.org/spip.php?page=article&id_article=20

 

Je vous recommande aussi l’article

 

Les Abeilles massacrées, droit de suite

 

paru sur le site :

http://www.corps-esprit.net/article-les-abeilles-massacrees-droit-de-suite-112889820.html

 

Extrait :

 

Vous avez été nombreux à être sensibilisés à la cause des abeilles dans un précédent article, et il me semble normal de vous donner des informations sur la suite des implications. Certains d'entre vous ont sans doute signé la pétition. Ne relâchez pas votre effort et continuez à manifester votre opposition aux lobbys agrochimistes qui sont en train de nous condamner par leurs procédés outranciers.

 

Chère amie, cher ami, Juste un petit email pour vous tenir au courant des suites de notre action pour barrer la route aux lobbys agrochimistes - qui s'apprêtent à se donner eux-mêmes l'autorisation de vendre dans toute l'Europe leurs pesticides tueurs d'abeilles !

 

Tout d'abord, je tiens à vous remercier pour votre mobilisation : grâce à la participation de chacun, nous avons déjà réuni un peu plus de 120.000 signatures à notre pétition, pour que les députés européens ne laissent pas les lobbys faire la loi et qu'ils interviennent dans la procédure d'évaluation des pesticides en cours pour s'assurer que les substances dangereuses pour les abeilles et la nature soient bien interdites.

 

Si vous n'avez pas encore signé cette pétition, il est encore temps : cliquez ici

 

J'ai déjà commencé à prendre rendez-vous avec des députés européens, mais pour leur mettre une pression maximale je dois pouvoir leur montrer que nous sommes des centaines de milliers de citoyens de l'Europe entière à refuser d'une même voix que l'on sacrifie notre santé, notre environnement et l'avenir même de l'alimentation pour servir les profits de quelques multinationales agrochimistes !

(…)

Nicolas Laarman

Délégué général

www.pollinis.org

 

Lire la suite sur http://www.corps-esprit.net/article-les-abeilles-massacrees-droit-de-suite-112889820.html

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2 octobre 2012 2 02 /10 /octobre /2012 12:19

 

 

L'aventure d'une plantation d'un arbre Moringa Oleifera dans les Côtes-d'Armor.
Avec la complicité d'Emmanuel ROLLAND, président de l'association "Le petit jardin des écoliers" et Jacinto Rodrigues, professeur d'écologie urbaine de l'école d'architecture de Porto.

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20 septembre 2012 4 20 /09 /septembre /2012 14:46

Permaculture 228

 

Le Monde.fr | 19.09.2012 à 11h19 • Mis à jour le 19.09.2012 à 13h21

Par Stéphane Foucart

 

Tumeurs mammaires chez les femelles, troubles hépatiques et rénaux chez les mâles, espérance de vie réduite sur les animaux des deux sexes... L'étude conduite par le biologiste Gilles-Eric Séralini (université de Caen) et à paraître dans la prochaine édition de la revue Food and Chemical Toxicology fait grand bruit : elle est la première à suggérer des effets délétères, sur le rat, de la consommation d'un maïs génétiquement modifié – dit NK603, commercialisé par la firme Monsanto – associé ou non au Round-Up, l'herbicide auquel il est rendu tolérant.

Suite et fin : http://www.lemonde.fr/planete/article/2012/09/19/un-ogm-de-monsanto-soupconne-de-toxicite_1762236_3244.html

 

Moi, j’ai choisi la permaculture sur buttes, et j’ai obtenu un magnifique maïs sans aucune maladie ni attaque de prédateur !

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21 juillet 2012 6 21 /07 /juillet /2012 17:32

 

Des légumes gratuits et en libre service dans le Gard... Incredible Edible ou Les Incroyables Comestibles font des petits en France...


ET SI ON S'Y METTAIT TOUTES ET TOUS ?


Courgettes, tomates et salades poussent depuis quelques temps dans les rues de Saint-Jean-de-Valériscle. Des habitants de cette petite commune du Gard, nichée au coeur des Cévennes, ont en effet installés plusieurs bacs de légumes sur la voie publique. Des jardiniers volontaires chouchoutent quotidiennement ces potagers. Et une fois arrivés à maturité, chacun peut en récolter la production.


Qu'on soit riche ou pauvre, riverain ou touriste de passage.


« Incroyables Comestibles » est une pratique solidaire, née en 2008, en Angleterre.

 

Cette action citoyenne se base sur la solidarité des habitants et la générosité de la nature. Un concept participatif et écologique qui a déjà converti une douzaine de communes anglaises.


En France, l'idée commence à séduire. Et c'est dans l'esprit d'Eric qu'elle a germée à Saint-Jean-de-Valériscle. Ce professeur de physique-chimie espère désormais propager ce « virus citoyen » qui ne demande, finalement, qu'un peu de temps. Pour fabriquer les bacs à légumes Eric n'a en effet rien dépensé : leur construction s'est faite grâce à des chutes de bois.


Les bacs attendent désormais leurs cueilleurs : « Les gens n'osent pas trop, cela va sans doute trop, pour l'instant, à contre-courant de notre société » avance Eric. D'où les panneaux, pour rassurer et tenter les passants : « Servez-vous c'est gratuit ! »


Source : http://www.leparisien.fr/diaporama/en-images-des-legumes-gratuits-et-en-libre-service-dans-le-gard-03-07-2012-2075871.php?pic=2#infoBulles1

– avec Steff Olympienne.

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18 juillet 2012 3 18 /07 /juillet /2012 00:17

 

Cette plante est en train de faire tourner les beaux rêves de Monsanto en cauchemars.


Les OGM, pour Monsanto, c’est la réponse absolue à la prédation des insectes.

Pour les écologistes, et pour beaucoup de citoyens responsables, les OGM sont une menace pour l’environnement.

Mais là où tous les militants du monde se cassent les dents contre le puissant lobby OGM, une petite plante fait de la résistance.


L’amarante est une plante bien connue de nos ancêtres, puisque les Incas la considéraient comme une plante sacrée.

Mais pour le lobby OGM, c’est plutôt une « sacrée » plante.

Chaque plante produit environ 12.000 graines par an, et les feuilles contiennent des vitamines A, C et des sels minéraux.

Elle est même plus riche en protéine que le soja, pourtant considéré comme champion en la matière.

Les diététiciens affirment que la protéine de l’amarante est de qualité supérieure à celle du lait de vache.

Ils conseillent d’utiliser les graines moulues d’amarante, mélangées à celle du blé pour faire du pain à qui elles donnent un délicieux goût de noisette.


Mais revenons aux OGM.

La scène du « drame » s’est tenue aux USA, à Macon, en Géorgie.

Un agriculteur remarqua en 2004 que certaines pousses d’amarantes résistaient au Roundup dont il arrosait généreusement ses plants de soja.

Les champs victimes de cette amarante comportaient une semence qui avait reçu un gène de résistance Roundup.

Depuis cette date, le phénomène s’est étendu à d’autres états : la Caroline du Sud, et du Nord, l’Arkansas, le Tennessee et le Missouri.

Le 25 juillet 2005, the Guardian publiait un article de Paul Brown qui révélait que des gènes modifiés avaient transité vers les plantes naturelles, créant ainsi une graine résistante aux herbicides.

Ce que confirment les experts du CEH (centre for ecology and hydrology), et ce qui contredit les affirmations des pro-OGM qui ont toujours prétendu qu’une hybridation entre une plante génétiquement modifiée, et une plante naturelle était impossible.

Pour le généticien britannique, Brian Johnson, spécialisé dans les problèmes liés à l’agriculture : « il suffit d’un seul croisement réussi sur plusieurs millions de possibilités. Dès qu’elle est créée, la nouvelle plante possède un avantage sélectif énorme et elle se multiplie rapidement. L’herbicide puissant utilisé ici, à base de glyphosphate et d’ammonium a exercé sur les plantes une pression énorme qui a encore accru la vitesse d’adaptation ».


La seule solution qu’il restait aux agriculteurs était d’arracher les plants d’amarante à la main.

Sauf que cette plante s’enracine très profondément, rendant cette solution quasi impossible à réaliser.

Du coup, les agriculteurs ont renoncé à cet arrachage.

5000 hectares ont été à ce jour purement et simplement abandonnés, et 50.000 autres hectares sont menacés.


Depuis, ils sont de plus en plus nombreux ces agriculteurs américains qui renoncent à utiliser les plants OGM, d’abord parce qu’ils coûtent de plus en plus chers, et que la rentabilité est de mise en agriculture comme ailleurs, et enfin parce que l’efficacité des OGM est contestable au vu de ce qui est en train de se passer.


Pour Alan Rowland, producteur et marchand de semences de soja, à Dudley, Missouri, personne ne demande plus de graines Monsanto, au point que les graines OGM ont purement et simplement disparu de son catalogue.

Pourtant, cela représentait il y a peu 80% de son catalogue.

Il constate que les agriculteurs retournent aujourd’hui à l’agriculture traditionnelle.


Comme le dit Sylvie Simon dans un article à paraître dans la revue « votre santé ».

L’amarante est en quelque sorte un boomerang renvoyé par la nature à Monsanto.

« Elle neutralise le prédateur, et s’installe dans des lieux ou elle pourra nourrir l’humanité en cas de famine. Elle supporte la plupart des climats, aussi bien les régions sèches que les zones de mousson, et les hautes terres tropicales et n’a pas de problèmes ni avec les insectes, ni avec les maladies, donc n’aura jamais besoin de produits chimique ».


Les plantes vont-elles réussir là où tous les militants anti OGM du monde ont jusqu’à présent échoué ?


Auteur : lespacearcenciel

Source : archives-lepost.huffingtonpost.fr via TerreSacrée

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17 juillet 2012 2 17 /07 /juillet /2012 00:30

 


 

"Il faut ré-enchanter le monde !"

 

Un grand merci à Claude Bourguignon !

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15 juillet 2012 7 15 /07 /juillet /2012 23:16

 


 

 


 

 


 

 


 
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4 juillet 2012 3 04 /07 /juillet /2012 22:52

Hotel_%c3%96_insectes

 

Je vous recommande ce site…peut-être aurez-vous envie d’adhérez à l’association et/ou devenir membre de la communauté !

 

http://www.humanite-biodiversite.fr/doc/comment-construire-un-abri-a-insectes

Bienvenue dans la communauté de l'association "Humanité et Biodiversité" présidée par Hubert Reeves !


Découvrez, partagez vos expériences et rencontrez d'autres personnes engagées.

Retrouvez la parole de Humanité et Biodiversité

 

Vous souhaitez contribuer à la sauvegarde des insectes. Vous trouverez ici comment construire des gîtes et abris pour coccinelles, abeilles, guêpes, bourdons ... et ainsi contribuer à la sauvegarde de la biodiversité dans votre jardin. 

C'est facile, ludique, éducatif... Et très utile dans une Oasis Nature !

 

I - Intérêt écologique

En plus des herbes folles et des massifs fleuris, il est possible d’offrir à certains insectes - auxiliaires du jardinier - des gîtes sur mesure. 

Les insectes ont besoin d’abris pour y construire leur nid, pour passer l’hiver ou simplement la nuit ou le jour. Un jardin naturel composé d’une importante variété de plantes sauvage et de micro-habitats (bois mort, mur de pierres, tas de feuilles mortes…) offre suffisamment d’abris. La pose d'abris à insectes n’est alors pas nécessaire.

Mais s’il s’agît d’un milieu déséquilibré offrant une importante source de nourriture et peu de sites pour s’abriter, ou si l’on souhaite artificiellement augmenter la présence de certains insectes (notamment pour contrôler les parasites du potager) ou si l’on veut observer des insectes, la pose est alors justifiée.

 

II - Faisabilité technique

Différents types d’abris peuvent être réalisés en fonction des espèces que l’on souhaite attirer. Il existe des abris spécifiques pour les abeilles, pour les guêpes, pour les bourdons, les forficules (perce-oreilles), les coccinelles et de nombreuses autres espèces. Il est également possible de regrouper ces différents abris dans un "hôtel à insectes".

 

Les gîtes pour hyménoptères (famille des abeilles, guêpes, bourdons…)

 

Les abris à forficules (perce-oreilles)

 

Voir sur le site : http://www.humanite-biodiversite.fr/doc/comment-construire-un-abri-a-insectes

 

Les gîtes à coccinelles

 

Il s’agît d’un refuge hivernal qui imite les interstices que peuvent trouver les coccinelles sous l’écorce des arbres ou dans les vieux murs. Ce gîte permet de fixer dans le jardin une petite population de coccinelles. Pour construire un gîte à coccinelles, il faut se munir de six planchettes carrées de 15 cm de côté et de 5 mm d’épaisseur, d’une tige filetée et de plusieurs écrous. Les planchettes seront percées au centre d’un trou correspondant au diamètre de la tige filetée (normalement 7 mm). Puis il faudra assembler les planchettes en les espaçant de 5 mm avec un écrou vissé entre chacune d’elles. Ce « sandwich » sera placé dans une boîte en bois installée dans un endroit sec, à l’abri du vent et de la pluie et orienté au sud ou au sud-est. Ainsi, si elles trouvent ce gîte, les coccinelles seront à l’étroit et à l’abri des intempéries et auront plus de chances de passer l’hiver dans de bonnes conditions. Dès le printemps, elles seront alors prêtes à se reproduire et à se nourrir à la première apparition des pucerons.

 

L’hôtel à insectes

 

L’hôtel à insectes est un concept qui permet d’optimiser la présence, par la survie hivernale, des insectes qui sont souhaités dans des écosystèmes où la pollinisation et la biodiversité sont souhaitées. Il s’agît d’une construction regroupant les différents types d’abris à insectes dans une seule et même structure. Elle regroupera ainsi des gîtes à abeilles, à guêpes, à coccinelles, à bourdons… Il sera donc composé de divers matériaux  tels des nattes de roseaux enroulés, des fagots de tiges creuses, de tiges à moelle, des briques creuses remplies de glaise ou de paille, des vieux bois empilés, des bois secs troués…

 

III - Calendrier et échéancier

 

Les meilleures périodes pour installer des abris à insectes sont le printemps ou le début de l’automne. Les insectes débutent leur reproduction au printemps et dès juin, l’abri aura une chance d’être colonisé. À l’automne, les insectes recherchent des gîtes pour passer l’hiver à l’abri.

 

IV - Gestion et entretien

 

Une fois installé, il est déconseillé de déplacer l’hôtel. Il sert de lieu d’hibernation, d’abri et de lieu de reproduction (ponte, développement des larves) au printemps et en été. Il sera possible de rajouter ou de remplacer certaines tiges creuses ou tiges à moelle en veillant à ne pas retirer de tiges occupées facilement identifiables car obstruées.
L’efficacité dépend de la localisation mais également de nombreux autres facteurs dont la nature et la méthode de construction.

 

Voir les articles associés pour les nids et nichoirs

 

 

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1 mai 2012 2 01 /05 /mai /2012 22:39

 

Saviez vous que vous pouviez trouver toutes ces fleurs & insectes à côté de chez vous ?

 

Il suffit de s'équiper et de s'asseoir dans un pré, un champ ...

 

Bienvenue dans ce microcosme coloré !

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16 avril 2012 1 16 /04 /avril /2012 15:31

 


 

Beaucoup de bonheur à écouter ce jeune homme pasionné par son activité !

Merci à lui et à cette magnifique et prolifique nature !

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