Tout son contenu sera supprimé du serveur et son nom de domaine n'existera plus. Si vous souhaitez conserver certains textes ou télécharger les méditations guidées, vous avez jusqu’à cette date pour vous servir librement. Passez le message aux personnes qui pourraient être également intéressées. Ce site internet aura vécu deux années de grande richesse en termes de créativité et d’échanges. La refonte du site internet il y a 2 mois et la publication du livre « vivez votre spiritualité au quotidien » ne laissaient évidemment pas présager un tel changement de cap, mais les probabilités ne pèsent pas lourd face à l’évidence d’un appel du cœur. C’est un bel enseignement sur l’impermanence des choses et sur la prévalence de la guidance intérieure sur toute forme d’attachement et de faux-besoin.

Voici les raisons qui ont motivé ce choix : de récentes prises de conscience ont modifié l’orientation que je souhaite donner à mon Chemin de Vie et à l’expression de ma personnalité face au monde extérieur. Je souhaite désormais être davantage tourné vers l’intérieur, dans l’écoute attentive des vibrations de mon Être, et je ressens un appel extrêmement fort à plonger avec davantage d’acuité dans l’expérience consciente du moment présent. 

Le travail effectué dans le cadre de ce site internet m’aura certes permis de me rassembler autour d’un noble idéal, mais il aura, bien malgré lui, aidé au renforcement de certaines facettes dont il est désormais vital que je me libère. Si j’ai pu laisser "remonter" ces dernières années une connaissance initiatique, il s’agit aujourd’hui, pour moi, de l’intégrer pleinement dans tous les aspects de ma vie quotidienne. Pour cela, il est essentiel que mon attention et ma vigilance soient résolument orientées sur chaque instant que la vie m’offre à vivre.

Toutes les bonnes choses ont une fin, comme le dit l’adage populaire. Mourir à un état, renaître à un autre, tel est le propre de la vie. Pour accompagner cette transformation intérieure, je me dois de mettre en place les conditions extérieures propices à l’introspection qu’elle exige, et cela ne peut se faire qu’en réduisant le temps que je passe sur internet, et par conséquent celui que je pouvais jusque-là consacrer à la vie du site et à l’aide apportée à ses visiteurs.

Je souhaite de tout cœur que la fermeture du site et mon retrait de la sphère internet vous encouragent à vous détourner de tout ce qui peut nourrir le réflexe de fuite face à l’indispensable travail sur soi-même qui ne peut être entrepris qu’en recentrant notre attention sur ce qui se passe en notre for intérieur. La compréhension intellectuelle de ce qu’est la spiritualité est certes nécessaire, mais à un moment donné il faut opter pour le choix conscient de l’INCARNER, ni plus ni moins. Tant qu’il existe une séparation entre notre pratique spirituelle et notre vie quotidienne, il ne peut y avoir de véritable réalisation intérieure. Il ne s’agit pas de se couper du monde évidemment, mais d’y faire face avec un autre regard, depuis la Présence. Il s’agit d’ouvrir la conscience de façon toujours plus large sur l’instant présent, orientant votre attention aussi souvent que possible sur ce qui se passe à l'intérieur, afin de vous donner l’opportunité d’accueillir les aspects de vous-mêmes qui ont besoin de l’Amour inconditionnel de votre Lumière. Voici ce que j'écrivais dernièrement au sujet du 21 décembre 2012, et qui peut être transposé à ce dont il est question ici : 

"Cette date n’a pas grande importance. Tout ce qui importe est que vous puissiez vous rapprocher toujours plus de votre Vraie nature et agir en fonction de ses impulsions. Il s’agit d’écouter votre ressenti profond et d’agir en conséquence, tout simplement. Cela doit pouvoir se faire à chaque instant, ici et maintenant, et pour le reste de votre vie. Le but de la pratique spirituelle est d’agir en conformité avec la volonté suprême de votre Âme-Lumière, tout simplement. Il s’agit, petit à petit, de vous libérer de toutes les croyances, les conditionnements et les faux-besoins qui vous dirigent sur une autre voie que celle qu’emprunterait votre Âme-Lumière. Vous êtes déjà cette Âme-Lumière, ici et maintenant, il vous suffit d’écouter votre petite voix intérieure et d’agir en fonction de ce qu’elle vous dicte. Il s’agit d’agir selon ce que vous pensez être juste et bon pour vous, même si votre mental conditionné a toutes les raisons du monde de vous convaincre que vous vous trompez et que vous allez « tout droit dans le mur ». Osez, ici et maintenant, et n’attendez pas une date butoire dans le futur. Vous créez votre avenir selon les choix que vous faites MAINTENANT. Ne vous focalisez donc pas sur le 21 décembre 2012, mais bien sur le pas que vous êtes en train de faire ici et maintenant, et faites en sorte que ce pas soit le plus aligné sur la volonté de votre Âme-Lumière, tout simplement. Que faites-vous, ici et maintenant, pour générer davantage d’harmonie en vous-même ? Que faites-vous, ici et maintenant, pour faire ce que vous estimez devoir faire parce que cela vous semble être JUSTE pour vous ? Tout se joue dans l’instant présent, alors accordez-lui toute votre attention. Si vous voulez mon avis, il ne se passera rien d’exceptionnel le 21 décembre 2012… ! L’apocalypse, nous y sommes déjà… ! Et ce n’est pas la fin du monde, mais le temps des révélations…"

Je nous donne rendez-vous au cœur de notre Être, là où toutes les voies de réalisation spirituelle convergent, là où notre essence est UNE, transcendant toutes les croyances, toutes les distances et toutes les barrières. Optons pour la vigilance en chaque instant. Concentrons davantage notre attention sur ce que nous ressentons plutôt que sur la vision déformée de la réalité. Ne nous trahissons plus en choisissant la voie de la répression et de l’inertie. Faisons aussi souvent que possible l’examen de conscience qui nous permet de déterminer quels sont les choix qui nous aident à incarner notre Âme-Lumière, en générant davantage d’harmonie en nous-mêmes. Ne nous manquons plus de respect en nous obstinant à nous écarter de ce que nous estimons être juste et bon pour notre croissance intérieure. Optons pour le meilleur choix compte tenu de nos possibilités intérieures et remettons-nous en ensuite avec confiance à la perfection du Plan divin. Apportons-nous tout le bien-être auquel nous avons droit en recherchant le lâcher-prise au travers du relâchement physique et du calme de l'esprit. Osons prendre le risque de nous montrer tels que nous sommes au-delà des masques et des faux-semblants, afin de ne plus jamais vivre dans la peur de manquer de l’Amour nourricier et guérisseur. Il nous est possible de laisser jaillir cet Amour divin de notre Cœur par un simple changement de regard sur ce que nous sommes. Tout est si simple, et à la fois si difficile… ! Difficile, parce que nous avons peur de ne pas pouvoir obtenir l'Amour salvateur qui est pourtant déjà là, en notre centre, dans l'attente que nous puissions mobiliser suffisamment de courage pour trancher le voile qui nous maintient dans l’illusoire impression d’en être séparé.

Puissions-nous être libres et heureux, puisque telle est notre destinée…

De tout Cœur,
Bodhiyuga

L'enfant intérieur et le ventre

  Par http://www.bodhiyuga.net/

Cher-ère Ami-e,

Il n'est absolument pas possible de concevoir la pratique spirituelle sans prendre l'habitude de porter attention sur ce qui se passe en vous-même, tant dans votre corps (crispations, douleurs, tensions) que dans votre psyché (mal-être, souffrance morale, état d'esprit taciturne ou résigné, etc.). Rien ne doit vous échapper. Vous devez devenir un Maître de l'observation détachée des jeux d'énergies qui s'expriment en vous-même. C'est la seule manière (naturelle) de limiter la marge de manœuvre de votre inconscient négatif, et par conséquent de votre nature inférieure. 

Prendre conscience des énergies qui vivent en vous-même, en les ressentant sans juger, c'est-à-dire sans l'interférence de la conscience mentale discursive, est, comme nous l'avons vu, la voie directe pour permettre au Féminin sacré de reprendre pleinement possession de l'incarnation. Autrement dit, en descendant dans le corps pour y accueillir les phénomènes tels qu'ils sont, avec ce regard bienveillant de l'Amour-Force en vous-même, vous permettez à l'Âme d'intensifier son rayonnement. Dans cet état de conscience, il ne peut y avoir de répression ou de refoulement. Vous courts-circuitez le réflexe du mental-masculin de contrôler "ce qui est". L'énergie est mise en lumière et ne peut plus vous faire réagir selon sa volonté. 

Dans cet état de conscience, vous êtes comme la Mère-Divine qui embrasse de son immense Amour l'ensemble des facettes qui forment ce que j'appelle l'"enfant intérieur". De cette manière, votre enfant intérieur n'a plus peur d'être jugé, réprimé, moralisé. Il est accueilli tel qu'il est, même s'il se montre capricieux, frustré, en colère, triste ou fermé à toute lumière. 

Les énergies parfois lourdes que vous pouvez observer dans votre corps et dans votre état d'esprit, ce sont les siennes. Ce sont des mémoires qui sortent de leur léthargie pour vous inviter à les mettre en lumière, à les aimer. L'ombre ne peut exister qu'en l'absence de lumière.

Tant que vous voilez la lumière d'Amour du Féminin sacré en vous empêchant de redevenir Conscience pure, en restant perché-e dans votre tour de contrôle mentale, vous faites vous-même barrage à la source intarissable de lumière qui ne demande qu'à rayonner depuis le centre de votre Être. Par ces mots, comprenez que vous avez, ici et maintenant, et pour toute l'éternité, l'immense pouvoir d'Être la Lumière que vous êtes dans votre essence immuable. Vous avez TOUJOURS la capacité de lâcher-prise et de RESSENTIR ce qui se passe en vous dans le bon positionnement intérieur.

Observez également cette partie de vous-même qui éprouvera une forte résistance à faire ce lâcher-prise tant sa survie dépend de votre identification à elle. Cette part d'ombre en vous qui tente de s'accrocher à la souffrance ne peut pas être ce que vous êtes en essence puisque vous êtes pure Lumière.

N'est-ce pas une forme d'orgueil que de refuser la volonté supérieure du Masculin sacré qui n'aspire qu'à devenir la vôtre propre, vous invitant à vous désidentifier de ce que vous n'êtes pas pour que vous redeveniez Lui ? Reconnaissez, lorsqu'elle remonte en surface, cette force qui s'oppose à l'Amour et qui parvient à se faire passer pour vous sans que vous en ayiez conscience, comme un nuage sombre au travers duquel vous acceptez inconsciemment de regarder en vous identifiant à lui alors que vous pourriez tout aussi bien le contempler depuis un autre angle de vue, de manière détachée, retrouvant de ce fait le point central depuis lequel vous permettez à la Lumière de jaillir.

C'est ce basculement de l'état de conscience qui vous rend libre de vos mémoires limitantes. Remarquez à quel point, une fois de plus, il est simple de redevenir ce Féminin sacré, cette pure Lumière d'Amour-Force, essence principielle de toute forme de vie. Il suffit de ressentir intensément sans jugement. 

Ne laissez plus votre enfant intérieur, le Féminin réprimé et meurtri en vous-même, souffrir le martyre. Prenez-le dans vos bras, vous accueillant ainsi vous-même dans toutes vos facettes. Homme ou femme, absolument tout Être humain porte en lui cet enfant intérieur qui doit être observé avec attention, mis en lumière par le RESSENTI équanime. 

Sur le plan physique, nous en revenons toujours au même centre : votre ventre. Les organes de votre ventre, et en particulier les intestins, sont les parties du corps qui ont enregistré le plus de facettes réprimées et refoulées. Cela peut se comprendre très facilement grâce à la symbolique de l'intestin, qui correspond au déroulement successif de tous les états de conscience qui ont parsemé votre chemin de vie ; ces états qui ont bien souvent été réprimés et refoulés. Le ventre est le lieu de projection de votre enfant intérieur. 

Ainsi, l'une des manières les plus directes de vous faire du bien est de prendre grand soin de votre ventre. Ressentez-le, aimez-le, parlez-lui avec bienveillance si cette idée ne vous effraie pas. Libérez-le de toute tension afin que les mouvements respiratoires puissent lui offrir un massage naturellement bienfaisant. Faites en sorte de retrouver cette sensation agréable de "douceur" dans le ventre. Faites de la volonté de faire du bien à votre ventre une absolue priorité dans votre vie quotidienne. 

De nombreux exercices vous ont déjà été proposés pour vous y aider, et je n'y reviendrai donc pas. Pour l'instant, je ne parle pas non plus de l'alimentation et de l'importance capitale de l'eau, bien que ces deux aspects ne soient pas à négliger pour autant. Chaque chose en son temps ; j'en parlerai dans des lettres ultérieures. 

Bien à vous, fraternellement,

Soyez Divinement béni-e,

Bodhiyuga

Cher-ère Ami-e,

Vous arrive-t-il de réprimer un élan d'enthousiasme* à l'idée de créer quelque chose qui vous tient à cœur en vous persuadant que vous n'êtes pas à la hauteur, et que puisque d'autres font déjà bien mieux que vous, cela ne sert à rien de vous lancer dans cette entreprise créatrice ? Ne rebroussez-vous jamais chemin par peur de ne pas atteindre l'idéal de perfection que vous vous êtes fixé, ou par peur que les autres jugent votre création ? Ne préférez-vous jamais rester dans l'illusoire mais rassurante inertie qui vous protège de l'impitoyable sentence de votre juge intérieur, celui qui ne peut définir votre valeur qu'en fonction des résultats que vous obtenez ?

Lorsque vous êtes identifié-e à votre nature égotique, il est tout-à-fait normal que l'image que vous avez de vous-même soit déterminée par les caractéristiques de votre personnalité et par ce que vous pouvez accomplir sur le plan de la forme. Pour vous définir en tant que personnalité séparée, vous avez besoin de l'esprit de comparaison de l'ego. Vous comparez alors ce que vous êtes dans l'instant présent avec ce que vous devriez pouvoir manifester pour avoir une bonne image de vous-même ; cette image positive qui vous permettrait d'obtenir la reconnaissance, l'acceptation et l'amour bien évidemment. Ce sentiment de soi est alors totalement conditionné à cette image de vous-même. Vous vous valorisez lorsque vous atteignez vos objectifs et vos critères, mais vous vous jugez incapable et inapte dès que vous vous éloignez de votre idéal de perfection ; cette perfection qui vous permettrait, pensez-vous, d'être quelqu'un de bien. Pour définir cette perfection, vous vous en référez aux normes en vigueur au sein de la société de consommation, à la morale, et à ce que font ceux qui réussissent et qui sont reconnus, aimés, respectés et glorifiés.

A chaque fois que vous réprimez un élan intérieur qui vous invite à déployer votre créativité, vous renforcez l'emprise de votre juge intérieur sur votre personnalité ; cette facette égotique que je pourrais aussi appeler l'auto-saboteur. Sur le plan psychique, cela se traduit par une contre-intention. Une partie de vous-même souhaite agir et déborde d'enthousiasme à cette idée, mais elle est rapidement écrasée par cette intention contraire qui vous persuade de ne rien entreprendre, vous convainquant que les risques d'échouer (et d'être dévalorisé-e) sont plus importants que les chances d'atteindre le résultat qui vous permettrait de renforcer votre sentiment de vous-même. Il s'agit véritablement d'une énergie opposée qui bloque le mouvement naturel de création. C'est elle, l'inertie dont il est si souvent fait mention dans ces lettres.

Observez un enfant de trois ans lorsqu'il dessine. Il est pleinement présent à ce qu'il fait. Il ne juge pas la qualité de son dessin selon des critères normatifs. Il ne compare pas son dessin à celui des autres. Il ne cherche pas à ce que son dessin soit parfait POUR être aimé de ses parents. Il dessine, pour la seule joie de dessiner, tout simplement. Avec la formation du corps mental, l'enfant va petit à petit perdre cette candeur et commencera à juger sa façon de dessiner. Il commencera à faire de même pour son comportement, son apparence et son intelligence, se laissant ainsi petit à petit formater par le monde extérieur et l'image que ce dernier lui renvoie.

Lorsque les impulsions d'attraction et de rejet de la nature égotique ont pris possession de la psyché de l'individu, l'image que celui-ci a de lui-même devient totalement conditionnée par son rapport à la perfection. Il en va bien évidemment de même pour la spiritualité, où l'individu aura une image positive de lui-même lorsqu'il atteint un degré suffisant de maîtrise et de pureté intérieure. S'il lui semble être éloigné de la représentation qu'il se fait d'un Maître spirituel, alors il se juge et se dévalorise. S'il s'en rapproche, il aura au contraire un sentiment positif et s'y attachera temporairement, sans avoir conscience que c'est encore et toujours les impulsions égotiques qui l'influencent.

La perfection en tant que norme "parfaite" à atteindre N'EST PAS la perfection spirituelle. Le gribouillis de l'enfant n'est peut-être pas "parfait" selon des critères normatifs, mais l'enfant, lui, exprime la perfection dans la dynamique intérieure qui est la sienne. C'est cette perfection "spirituelle" que nous pouvons rechercher à chaque instant, peu importe ce que nous sommes en train de faire dans l'instant présent. Cette perfection est un positionnement intérieur. Elle s'exprime dès que nous cumulons en nous-mêmes cinq conditions. Ces conditions peuvent être réunies quelle que soit l'activité que nous sommes en train de faire. Tout comme l'enfant en bas âge est parfait lorsqu'il dessine, nous pouvons être parfait lorsque nous épluchons nos carottes, lorsque nous marchons, lorsque nous échouons à un examen, lorsque nous tremblons de peur, lorsque nous manquons de confiance en nous, lorsque nous travaillons, et lorsque nous cherchons à atteindre l'absolue maîtrise de nous-même (telle que définie dans la lettre précédente). Quelle que soit la représentation que le mental conditionné se fait de ce que nous sommes en train de manifester, nous pouvons exprimer cette perfection spirituelle.

Avant de vous présenter ces cinq conditions présidant à la perfection spirituelle, je vous invite à méditer sur le contenu de cette lettre. Durant cette journée, essayez de reconnaître en vous-même cette force d'inertie (ou saboteur intérieur) qui vous dissuade d'entreprendre certaines choses, et voyez comment elle s'exprime au travers de vos pensées et de vos émotions. Réfléchissez au rapport que vous entretenez avec la perfection. Voyez dans quelle mesure votre image de vous-même dépend de vos capacités intellectuelles, de votre apparence, de votre histoire, de vos relations, de vos réussites et de vos échecs, etc.

Soyez Divinement béni-e,

Bodhiyuga

*L'enthousiasme est un mot qui vient du grec ancien (enthousiasmós) et qui signifiait à l'origine "inspiration" ou "possession" par le Souffle Divin. Comme vous le savez désormais, le Souffle Divin est l'énergie d'Amour-Force, le Saint-Esprit, cette énergie de création à l'œuvre en chaque instant dans l'Univers et en vous-même. Lorsque vous avez de l'enthousiasme pour quelque chose, vous êtes porté-e par une énergie émotionnelle à fort potentiel de création.

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